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PreyaInvité | Sujet: Échappatoire ou presque. Mer 27 Juil - 17:04 | |
| [ ...je viens de ~ICI~]Ce jour-là, Preya était parti chez le forgeron, son maitre comme elle disait si souvent. Sa lance était émoussé et il fallait l'aiguisé le plus vite possible, c'est tout de même son arme principale. Elle se rendît à la forge en fin de mâtiné, comme elle est de service, elle portait son armure en plate scintillante. Dans la forge, le jeune femme fît comme chez elle, enlevant son casque et son torse de métal pour revêtir un tablier de cuir. Quand le grand homme qui s'était occupé d'elle durant trois années la vît il sourit et vint embrassé son front : - Tu utilises souvent ta lance ?- Les malotrus je leur la plante dans le pied pour entrave leur fuite.Ce qui fît comprendre au forgeron qu'elle s'est émoussé à cause d'un non usage ce qui était tout aussi nocif que de trop s'en servir. La jeune femme aiguisa doucement sa précieuse lance pendant que le forgeron la regarda de coin. Il l'avait connu à l'époque où elle n'était qu'une enfant et la voilà devenue une magnifique femme prête à prendre partie, mais le forgeron savait bien que là n'était pas les idées de Preya, pas depuis la fameuse trahison d'un des soldats qu'elle appréciée. Cette jeune fille avait un formidable instinct de survie, ce qui fait qu'elle est ce qu'elle est aujourd'hui. - Je me souviens à tes premiers mois dans l'armée, tu cherchais toujours une excuse pour venir me voir, à présent tu ne passes plus très souvent.Preya fît grincer sa lance sur la pierre à aiguisé ce qui provoqua un bruit sourd. Preya se ressaisit en se massant les oreilles : - Je ne cherchais pas d'excuses, maitre ! J'utilisai beaucoup mes armes elle avait besoin d'entretien tout comme mon armure.Aillant fini d'aiguisé sa lance, Preya allât serrer le bras, comme un chevalier le fait à son habitude, de son maitre, ce dernier lui attrapa la tête et embrassa une nouvelle fois son front. - Si j'avais eu un enfant j'aurais aimé qu'il te ressemble.Preya se contenta de sourire en s'habilla et fît tomber la visière de son casque. Son service reprenant sous peu, elle décida de commencer sa ronde maintenant, se dirigea instinctivement vers le quartier administratif. C'était souvent là qu'il y avait des problèmes en particulier à cause d'un certain restaurant dont elle a oublié le nom. Si elle savait ce qui se passé là bas, elle y serai venu plus tôt. Elle déboucha sur une ruelle qui lui valût le détour, sans cri et gare, une sorte de boulet de canon géant et de forme humanoïde fonça sur elle. Ce fût si rapide qu'elle n'eût ni le temps de se contracter pour parer le choc et encore moins le temps d'esquiver. Preya fût balancer dans sa propre armure, un peu sonné elle atterrit sur son valseur. La plate lui fît atrocement mal presque à en couper son souffle, elle se ressaisit, relevant sa visière pour observé le fameux boulet... de canon. Preya pût voir en face d'elle une très jolie jeune femme à la chevelure dorée assorti à ces yeux, ces dernier était presque envoutant. Preya ne s'attarda pas. Elle se servit de sa lance pour relever: elle et ses 25 kg d'armure. Debout, Preya était imposante, elle tendit sa main à la jeune femme, pour l'aidé à se relevé. - Vous me paraissez bien pressez demoiselles. Je peux vous aidez ?Voyant la cohue un peu plus loin et les gardes commencé à s'agiter, Preya força la jeune fille à se relever et l'emmena dans le premier bâtiment venu. Elle poussa l'inconnue à l'intérieur et ferma la porte derrière elles. Se précipitant à la fenêtre, elle regarda les gardes s'éloigner en soupirant. Ces instinct animal était encore bien développé et elle avait encore du mal à rester en place lorsqu'elle sentait le danger. Elle se tourna vers la jeune femme et la considéra de la tête au pieds. Elle n'avait pas l'air mal attentionnée. Preya s'inclina en guise d'excuse : - Je suis désolé pour tout à l'heure.La jeune soldat se releva et regarda la secrétaire ébahit de leur arrivé si brusque. Voyant l'armure de Preya, elle baissa la tête et retourna a ses affaires. - Je me nomme Preya F. Eadhild.Attendant une réponse de son interlocutrice, elle continua cependant à surveillé les gardes qui s'agite dans les rues. - Pourquoi couriez vous ainsi ? Demanda-t-elle avec un semblable détachement. Preya avait déduit rapidement que si elle venait belle et bien de la zone d'agitation elle devait faire partit des témoins ou suspect à ne pas relâche facilement. Malheureusement, Preya n'en savait que très peu voir rien du tout, elle allait donc cherché à tâtons. Elle allât s'asseoir sur un fauteuil à disposition et invita la jeune femme à en faire de même. Dans ce genre de cas de figure il vaut mieux mettre à l'aise de suite. Voyant la suspicion dans les yeux de la jeune femme, Preya sourit chaleureusement et dit : - Ne vous souciez pas de mon armure, je ne suis pas encore en service. Ce n'est pas tout les jours que quelqu'un me renverse de la sorte.Pour détentre totalement l'ambiance, Preya ria chaleureusement. Ces quelque année en société on un peu augmenter ses capacité sociale, autrefois elle aurait griffé et mutiler la jeune femme pour cette bien futile bêtise. ¤ 2 Khole Vita ¤ ~ Il est 12 heures 41 ! ~ |
| | | MylloëInvité | Sujet: Re: Échappatoire ou presque. Jeu 28 Juil - 1:28 | |
| Assise dans le fauteuil, droite comme un i et les yeux emplit de méfiance naturelle, Mylloë gardait le silence le plus total.Quoi de plus normal en même temps, l'étrangère était elle même de la garde et vu l'armure rutilante dont elle se pavanait, la jeune femme devait être bien placée. Heureusement pour la demi elfe, l'inconnue ne semblait être au courant des derniers évènement. Une question, curiosité habituelle: Pourquoi courrait elle ainsi? Que répondre face à une telle question? Il n'était pas dans ses habitudes de se dénoncer volontairement, et elle n'avait pas échapper à l'affreux Marchilan pour se faire emprisonner par l'un de ses sbires! Non non non! Jamais de la vie! Sa fierté de voleuse était en jeu! Cette part pesante du passé l'habitait encore, ses vieux réflexes l'animait encore comme à son jeune âge. Pourtant, la voila une des mage les plus prometteuses de la cité, poursuivit pour un simple repas non payé. Il y a de ces jours, peu glorieux. Mylloë était tendue, terriblement tendue mais l'étendue de ses capacités d'actrice l'avait amenée à un contrôle de soi exemplaire, elle fit mine de rire aussi. Seul un animal, par ses sens, aurait put sentir l'anxiété cachée derrière ce rire. Par ses capacités à analyser, elle sentit rapidement que la situation était à son avantage. Ses chances de salut s'en retrouvait grandit. Avec la vivacité d'esprit digne d'un comédien, elle improvisa son texte avec une conviction telle que, sauf si l'on était sur les lieux du forfait, on aurait pût aisément croire sa version vrai. -Je vous pris d'accepter Madame, mes plus plates excuses pour tout à l'heure. J'étais assez pressée en effet. Mylloë eu un sourire en coin étrange. Madame, sachez qu'il eu une fraude à la Fourche d'or. Un des clients de l'auberge vint vers moi, et nous commençâmes à bavarder de tout et de rien. Je lui paye le contenue d'une chope, puis il s'éloigne vers une table. Je mange ainsi mon repas tranquillement jusqu'à l'arrivée de la note, qui quoiqu'excessive, était à ma portée. Mais surprise, plus de bourse! Je cherchais, quand le serveur vint réclamer son dût. L'évidence était là, le bougre avait volé ma bourse! J'en fis part au serveur, qui, n'en croyant un seul mot, appela la garde afin de me cueillir. Finalement, grâce à la vélocité de mes jambes, je réussis à leur échapper. Votre aide fut précieuse également, je vous dois mon salut Madame. Ainsi elle finit son récit. Elle détourna un instant son regard vers le lustre dorée qui ornait le plafond. Par son passé, elle avait apprit reconnaître l'or et autre matière précieuse, mais il semblait qu'ici, il ne s'agissait que de Pyrite connu aussi sous le charmant sobriquet "d'or des fous". Mais ce n'est pas l'objet en lui même qui inspirait Mylloë à la réflexion. Non, c'était une chose beaucoup plus lointaine et personnelle. Beaucoup plus troublante et décevante. Sans l'avoir montrer, sans le transcrire sur son doux visage, elle était en réalité, profondément affectée par l'attitude du Général. Lui, un symbole de son enfance, qui était si gentil à l'époque, si aimable, si juste, comment peut on changer à ce point? L'armée était elle si cruelle pour voler les coeurs de ses soldats? Une telle institution peut elle exister? Malgré sa maturité précoce, forcée par son monde de misère, elle avait parfois, ces pics de candeur tardive qui entravait sa vision. Elle avait encore quelques difficultés à croire aux parvenus, l'armée ne se basait donc que sur des résultats et non la mentalité? Ne devait elle pas prônait justice et paix? -Madame, ou demoiselle selon votre préférence, vous m'avez accordé la connaissance de votre identité. Laissez moi faire de même. Je me nomme Alicia O'konnor, simple artisane potière. Il y de ces vieille manies tenaces, le mensonge par exemple. Une sorte d'instinct de survie, plus approprié au monde dit "civilisé". Cherchant un moyen de se soustraire à l'interrogatoire, elle comprit soudainement l'occasion, quasiment unique, de pouvoir parler librement à un soldat de l'armée. Ainsi peut être, allait elle lui apportait les réponses qui lui manquait. Toujours droite sur son siège, refusant catégoriquement de toucher le dossier, Mylloë croisa ses jambes à son habitude et joignit ses mains au niveau de son genou. La, elle réfléchit durant quelques instant, sur la façon, sur la composition de ses questions. Quand elle eu trouvé ses formulations, elle lâcha l'emprise de ses genoux et reposa les deux jambes à terre, le buste légèrement penché en avant. -Dites moi Preya, si je puis me permettre de vous nommer ainsi, j'aimerais vous soumettre deux questions. Je vous fait part de mon cas, histoire que vous compreniez ce qui me tracasse. Voilà, j'ai revu il y a de ça une semaine environ, un vieil ami d'enfance. Aujourd'hui il est, par quelques tours de bonne fortune, Général. Je lui fit part de mon enchantement puis nous nous sommes mis à parler de tout et de rien. C'est de là que j'ai aperçue son changement radical de personnalité: tout en lui avait été modifié de son regard jusqu'à l'aura qu'il dégage à son entourage. Autant dire que désormais, son coeur est fait de glace et non de chair. Voila Preya, ce que je voulais savoir: l'armée peut elle voler un coeur? J'ai remarqué la beauté de votre armure, alors dîtes moi, avez vous changée en négatif depuis votre entrée dans l'armée? Mylloë se tût. -Je n'aurais pas dût poser de telles questions, vous n'êtes pas tenue d'y répondre. Ce serai plutôt à moi de répondre aux vôtres vu la situation. Demandez moi ce que vous voudrez, je tâcherai d'y répondre le mieux possible.Sa fausse gêne cachait une réelle envie de réponse. Ainsi, une réponse ou même, un début de réponse pour l'éclairer. Ce serait toujours mieux que rien. Elle avait proposée la demande de question, ce n'est pas se trahir. Autant jouer le personnage d'Alicia O'Konnor jusqu'au bout puis après, on verra bien. Mylloë se replaça dans sa position: jambes croisées et mains jointes dessus en attendant les paroles de Preya et surtout, ses réactions. ¤ 2 Khole Vita ¤ ~ Il est 12 heures 49 ! ~ |
| | | La Faucheuse | Sujet: Re: Échappatoire ou presque. Jeu 6 Oct - 14:22 | |
| Sans même le savoir, Preya et Mylloë venaient de franchir les portes d'une banque à petite renommée. Cet établissement à l'allure banale depuis l'extérieur, était en fait le refuge de bien des possessions ! Une bâtisse sans nom qui avait pour but d'être invisible aux yeux des bandes organisées. Une idée salutaire pour tous les petits bourgeois du secteur, eux qui vénéraient davantage leurs Nitsed's aux Divinités. Ce fut pourquoi les deux jeunes femmes ne se rendirent compte de rien, de plus, la guichetière qui les avait vu se précipiter dans le hall, se contenta de faire silence, espérant ainsi se faire oublier. Les intruses étaient étranges, car au lieu de faire court, l'une d'elles se mit à se lancer dans des détailles relativement inutiles, surtout si celle-ci était coursée par des soldats durant la minute qui précédait son entrée dans la banque ! Mais bon... ce n'était vraiment pas grave, c'était même tout bénef !
Et oui... malheureusement les ennuis n'étaient pas prêts de s'arrêter pour la pauvre Mylloë. Et pour cause, la jeune femme qui était en poste pour normalement accueillir la clientèle, n'était pas une employée de la banque. Puisqu'il s'agissait en vérité, d'une sentinelle ! Au sein de certaines organisations, les sentinelles avaient un rôle bien défini ; soit celui de donner l'alerte en cas de mauvais temps. Mais alors ; qui cherchait-elle à couvrir ?
Quant soudain, une explosion fit littéralement voler l'arrière du bâtiment, en éclat ! Un brouhaha qui fit sursauter les deux jeunes femmes, mais mit rapidement la guerrière en alerte. Hélas, son attention était portée sur la direction d'où provenait la détonation, et non sur la sentinelle, qui elle en avait profité pour sortir une arbalète de sous le bureau, afin de viser, puis tirer sur la dame en armure à la tête. Le coup fit mouche, laissant ainsi Mylloë impuissante face à la chute de Preya ! Mais alors qu'un autre tir allait s'en suivre, la sentinelle se fit soudainement interpeller par un homme à la voix grave. Je la veux vivante, qu'il criait. Ses désirs étaient des ordres, et même si la blondinette était adepte de magie, que pouvait-elle contre une bonne dizaines d'arbalètes la prenant pour cible ? La magicienne n'eut alors d'autres choix que se rendre, ou mourir. Toutefois, afin de ne point courir le moindre risque, le chef de bande assomma la pauvrette d'un coup de pommeau derrière le crâne.
Qu'allait-il advenir d'elle ?
[OUT : Mylloë, ouvre un nouveau sujet dans la prison ~ICI~... ]
[Annonce : Tu es seule dans une cellule sombre froide et humide ]
~ Preya est décédée le 2 Khole du mois de Vita, à 12 heures 51 ! ~ |
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