~ Mon identité ~ ~ Prénom : Melyssa-Rose
~ Nom : Ivonelle
~ Surnom : Melrose, ce qui deviendra par la suite son prénom (Voir les détails dans l'histoire.)
~ Âge : Dix-huit années.
~ Jour & Mois de naissance : Le 13 Oryi du mois de Nero.
~ Sexe : Féminin.
~ Race : Une humaine.
~ Lieu de naissance : Melyssa-Rose naquit à Freezis.
~ Lieu où vous vous trouvez actuellement : Dans les montagnes de Freezis.
~ Classe : Sans classe précise.
~ Alignement : Neutre Bon.
~ Apprenez à me connaître ~
~ Description Physique : Comment pourrait-on décrire la jeune et pure Melyssa-Rose ? Il nous faudrait une palette des parfums les plus enivrants, des millions de fleurs triées sur le volet, et une sainte lumière blanche, tout cela concentré dans un roman aux dorures d'or et d'argent. Commençons par son si merveilleux visage d'ange. Une fine bouche pulpeuse colorée d'un beau rouge à lèvres carmin, fait avec les meilleures graisses et les meilleurs teintes rougeoyantes. Des lèvres délicieuses croquant des fruits sucrés à chaque fin de repas. Un nez fin sans la moindre imperfection aimant renifler les parfums des fleurs du mois de Vita. Deux beaux yeux d'un bleu côtoyant le féerique vous regardant d'un air froid fixement. Des cheveux châtain-clair aux reflets d'or, constituant sa coiffure de dame, des boucles et des ondulations donnant un effet fluide et agréable au touché autant qu'à la vue. La peau pâle de son visage satinée offre une vision de douceur agrémenté de ses légères joues rose clair. Petite brindille, ton corps est svelte et tes mouvements sont gracieux comme si tu dansais. Les robes te vont vraiment bien. Cela tombe parfaitement car tu les adores, bien sûr, toujours en dessous des genous car là d'où tu viens, le froid est roi sur son trône.
~ Description Psychologique : Notre analyse du caractère et de la personnalité de Mademoiselle Melyssa-Rose sera divisée en deux grande partie, la subjectivité et l'objectivité. Tout d'abord donc, objectivement, comment est-elle ? Même si son physique offre la vue d'une belle et douce jeune fille, son regard lui fait défaut. Ses yeux bleus profond provoque le frisson d'un regard froid vous transperçant de toutes parts. Mais qui peut expliquer ce comportement non approprié ? Son passé … l'oblige. Envers les inconnus, elle reste strictement et inébranlablement sur la défensive. Une qualité ou un défaut ? Qui peut dire ?
Mais tout cela n'est qu'une façade.
Passons donc à la deuxième partie... La subjectivité... Melyssa-Rose eut un passé qui la fragilise fortement. Elle vécu dans la peur de cet homme obnubilé par elle. Mais par delà cette bulle de glace lui servant de bouclier, Melrose est un recueille de bonté et de générosité. Même si la vie de l'a guère gâté, elle s'est promise de survivre quoi qu'il lui en coûte. Elle garde espoir en se délectant des petits plaisirs de la vie tels que se nourrir avec une nourriture saine, avoir une certaine liberté, croire en ses convictions mais la tranquillité n'est pas toujours au rendez-vous. Vous en saurez plus dans son histoire. Oseriez-vous vous poser, et écouter ?
~ Biographie & Histoire : Sa vie est un concerto où la seule soliste est Melyssa-Rose. Le prélude.
Dans le froid de Freezis, une femme et un homme se rencontrèrent. L'une étant du coin, l'autre un voyageur. Grâce à la chaleur de la cheminée crépitante, ils se trouvèrent dans un même point. Dès le premier regard, ils se dirent, chacun de son coté, qu'ils avaient trouvé l'âme sœur. Seulement deux ans de différence, Aimé Vélusia et Violette Vélusia furent une couple digne dont l'amour faisait envier toutes les vierges de Freezis attendant leur Prince Charmant. De leur union naquit une petite fille au teint pâle et aux yeux bleus, ils la prénommèrent Melyssa-Rose. Mélissa, car elle sera dure comme l'acier, un caractère bien trempé, et Rose, pour rappeler sa douceur et ses joues rose. (L'élément de prédilection des Mélissa est l'acier, tandis que celle des Rose est l'eau.). Le temps passait et l'enfance de cette enfant chérie était radieux mais des problèmes d'argent firent petit à petit savoir. Mainte et mainte fois ,Aimé, Violette, cherchèrent LA solution mais les idées partaient aussi vite qu'elles étaient venues. De la petite maison de bois,où ils ont vécu sept années de pur bonheur, ils décidèrent, plus par obligation, d'emménager dans une chambre poussiéreuse que leur offrait une vieille boutique de chapeau artisanal. Mais les deux jeunes parents se contentaient du peu qu'ils avaient. Aimé, trouva un petit boulot dans une petite industrie de construction de bâtiment en bois. Mais le bois des arbres de Freezis était trop dur et froid. Son devoir envers sa femme et sa fille âgée de sept ans et demi, l'obligea à partir vers des terres éloignées, plus précisément dans la forêt de Lalwende où le bois était d'une qualité supérieure. De plus, personne ne lui demandait de compte. Violette, elle, travaillait dans l'approvisionnement. Elle apportait, dans le froid, plus ou rude, des saisons d'Astrune, de la nourriture. Sept jours sur sept, elle faisait la tournée des auberges et traversait les montagnes de Freezis pour réapprovisionner un étrange manoir de mauvaise réputation. Melyssa-Rose, passait ses journées à lire avec l'aide de la marchande de chapeaux. Cette femme était d'une gentillesse sans pareil, tout le monde la surnommée ''Mimi aux Chaperons'' car elle était reconnaissable à ses chaperons de couleur vive égaillant ce village, ce qui changeait des vêtements sombres portés par une grande majorité des habitants. Inutile de vous dire que le chiffre 7 était devenu un chiffre porte malheur. A Freezis, les gens sont très superstitieux.
Le jour de ses dix années, le ciel était bleu et il ne neigeait pas. Un signe plutôt positif car la rumeur disait que les jours où il ne neigeait pas, les esprits des neiges prenaient leur temps pour se reposer de toute cette neige qu'ils ont pu faire tombé. Donc ces jours là, la chance devait être au rendez-vous. Foutaise, car ce jour-là, à cause d'un malheureux accident de cheminée, la boutique brûla. La chance tourna car il n'y avait personne dans cette boutique et dans la chambre du premier étage. Mais Violette, fatiguée, prise de folie, se jeta dans les flammes ardentes, sous les yeux des habitants ébaillis. Dès ce moment, Melyssa-Rose devint orpheline. Son père n'était plus revenu depuis trois ans. Beaucoup disaient qu'Aimé avait du être tué par les elfes en colère de voir des humains leur arracher impunément leurs arbres. Les elfes n'avaient guère une réputation négative mais ils ne fallait point les déranger sous peine de mourir sous une pluie de flèches empoisonnées. Mimi aux Chaperons aurait bien voulu l'adopter mais comment aurait-elle fait sans aucun moyen de la nourrir … de la loger … Elle demeura droite et sanglota devant ce grand feu de joie... de tristesse. Le fruit des entrailles de Violette était jeune mais décida de parcourir le chemin jusqu'à chez sa tante. Sa tante s'était exilée dans les montagnes pour des raisons encore floues.
Le premier mouvement.
Mimi aux Chaperons repoussa Melyssa-Rose quand elle voulut la consoler ... En effet, la femme, d'une quarantaine d'années soupçonna celle-ci d'être maudit soit disant, tous ses problèmes de sa faute. Mimi ne le pensait sans doute pas mais le sur-plein d'émotion l'avait rendu inapte à raisonner correctement. La jeune ''Maudite'' profita que tous les habitants soit devant l'incendie pour voler une couverture dans une boutique et un peu de nourriture. Elle le regrettait mais elle était quasiment sûre de ne plus jamais revoir ces gens là. Tout au fond elle, elle était consciente des risques que les montagnes pouvait lui faire courir. De plus elle ne connaissait pas le chemin.Melyssa-Rose, avec sa couverture beige et sa petite serviette pleine de nourriture, commença à descendre du village qui était situé en hauteur (Je me réfère à la petite image.) Avec son intuition, elle comprit qu'elle devait de dépêcher car le ciel n'allait pas rester éternellement bleu. Elle suivit les petits sentiers autour des petits pics quand soudain, elle ne vit plus la suite du chemin ... Elle continua à marcher jusqu'au moment où ... elle tomba dans un creux invisible à cause de la poudreuse. Coincée, elle se mit à hurler mais s'arrêta net quand elle entendit les hurlements des loups. Ses cris faisaient échos et signalaient sa présence plus aux bêtes sauvages qu'aux humains. [...] Il devait être seize heures et toujours coincée dans ce creux de deux mètres de profondeur. Elle avait déjà mangé sa nourriture et petit à petit, elle ne sentait plus ses jambes. En essayant de changer de position, de la neige, provenant des bords, lui tomba sur la tête accentuant sa peur et ses frissons. C'est à ce moment qu'elle repensa à sa mère. Bizarrement, elle n'avait pas eut le temps de la pleurer. Instinctivement, elle avait cherché un moyen de résoudre ses soucis. Melyssa-Rose se mit à sangloter et pleurer à chaudes larmes. Elle renifla deux ou trois fois quand elle entendit des bruits de pas écrasant la poudreuse. Elle se mit à crier puis s'arrêta net. La silhouette de la chose était grande, imposante. Elle poussait des petits cris à sonorité grave. Elle n'osait pas descendre dans le creux mais voulait plus ou moins la chose en bas. Cette ours hurla, interpellant un homme et ses chevaux.
[...] A présent sauvée, l'homme l'amena dans cette étrange manoir avec une mauvaise, très mauvaise réputation. Une sorcière y vivait, un manoir abandonné où des étranges lumières de faisait voir depuis les hautes montagnes. Autant de rumeurs que de salives utilisées par les habitants du village. Cet homme semblait impatient. Il souriait. Melyssa-Rose ne dit pas un mot et écouta l'homme chantonner et siffler un petit air de musique de fête.
Melyssa-Rose avait, pour la première fois, eut de la chance, sauvée par un homme aux airs enthousiasmés. Sur le chemin, les présentations se sont faites. Olémore Glamérhite était un jeune homme ayant passé le cap des vingt-quatre années, né dans une bonne famille. C'était un garçon aimant la vie et ses plaisirs. D'après ses dires, il était de Nandis. Le manoir se faisait petit à petit voir. Une grande tache noir entouré d'un voile blanc, et couronné d'un massif rocheux enneigé. Est-ce le renouveau d'une vie meilleure ? Seul l'avenir nous le dira.La petite pauvresse grelottait pendant tout le trajet. Sa couverture, imbibée d'eau glacée, ne lui servait plus à rien. Mais d'un coté, elle était heureuse, elle avait échappé à cette deuxième épreuve que lui ordonnait la vie. La vie semblait se jouer d 'elle, après tout, elle n'était qu'un pion, sur l'échecier des destinées dans un univers béni pour certains et impitoyable pour d'autres. Le manoir ressemblait à une forteresse, faite d'une roche noire Un drapeau écarlate, trônant sur cette battisse, donnait une teinte colorée à ce monde terne. Le tout offrait une ambiance effrayante mais l'euphorie d'Olémore la rassurait. Enfin, la calèche s’arrêta. Le galant bonhomme l'aida à descendre et l’amena dans cette grande masse guère rassurante. Olémore toqua la porte d'un air enjoué en ballottant son bassin tel une danse. La petite fille, alors âgée seulement de dix ans ne se sentait plus. Deux jolie jeunes femmes ouvrirent la porte et accueillirent les deux arrivants.
Deuxième mouvement.
Le manoir était en fait, une maison close. La luxure régnait en ces lieux ou les femmes étaient soumises et les hommes, des rois si leur porte-monnaie leur permettaient. La chaleur était condensée en ces murs capitonnaient de tissus aux couleurs chaudes majoritairement rouge ou orange. Sur les cotés, deux grandes salles possédant deux grandes scènes. Les danseuses étaient vêtues de petites tenues audacieuses et tendancieux aux plaisirs jouissifs de la dépravation et de la décadence. Mais ces jeunes filles n'étaient pas ici de leur plein gré. Souvent, leurs parents guère très aisés les vendirent pour quelques pièces en or. Et elles dansaient, se dandinaient pour couvrir leur nourriture, logement ... Une femme mûre s'occupait de ces jeunes filles, tout le monde l'appelait ''Grande Mère'' ou '' Ophé' la matrone''. Mais elle n'était pas la propriétaire. Le propriétaire était un bourgeois, très riche possédant des terres par-ci par là. Mais il ne venait qu'une fois toutes les sept années. Cela laissait penser qu'il avait d'autres maisons close où d'autres femmes étaient utilisées pour les mêmes fins.Ophé la matrone, curieuse, alla voir les nouveaux clients, soudain, en apercevant le visage de Melyssa-Rose, elle était stupéfaite. Elle se disait que la ressemblance était frappante. Elle demeurait fixe au milieu de ''l'avenue rouge.'' (Chaque pièce, chambre et couloir possèdent un nom strictement composé d'une couleur.) La vieille s'approcha et contempla le visage de la jeune fille frigorifiée « _ Oui, tu lui ressembles ... OH ! Mais tu es gelée ma fille, viens, viens, tu dois avoir faim. Hélina ?! Hélina ?! Prépare un bon bain chaud et des vêtements propres. ». Une jeune fille courut et prit le petit glaçon sur son dos et la monta au premier étage. Sur le chemin, des bruits bizarres, des personnes essoufflées, qui haletaient. Une porte était entre-ouverte et elle ne put voir une femme, les seins découverts, en train de se dévêtir. Elle arriva dans une pièce toute rose appelée ''Rose du paradis''. Hélina, légèrement vêtue, déshabilla Melyssa-Rose et la mit dans le bain chaud. La baignoire était remplie d'une eau savonneuse, pleine de bulles et de mousse. L'air était chaud et sentait le parfum à plein nez. Hélina prit la parole.
Hélina.
« _
Comment tu t'appelles ma chérie ? Tu es belle ♥_ Je m'appelle Melyssa-Rose et je suis venue voir ma Tante ! Elle s'appelle Octavine ! Elle est où ? »
Le petit sourire d'Hélina se perdit dans le visage triste d'une âme en peine. Elle se retenait de ne pas pleurer comme une madeleine. Elle reprit ses esprits après avoir était deux minutes dans les nuages.
« _
Octavine était ma meilleure amie. Elle était belle et te ressemblait beaucoup ... Mais elle est partie au ciel. Mais comment se fais-t-il que tu sois ici ? Où est ta mère ? Violette c'est ça ?
_
Elle est morte... Aujourd'hui ... Elle est partie dans le feu et elle m'a abandonné. Suffoqua Mel'
_
Ma pauvre chérie ... Et ton père ?
_
Il est parti aussi ... mais pour travailler ... pour gagner de l'argent car on en avait plus.
_
Mon coeur... Souffla Hélina en la serrant dans ses bras couvert de tissus tressé en sois.
_ [...]
(Explique le chemin qu'elle a fait) _
Toute seule ? Mais ... Ne t'inquiète pas ... Nous sommes là, on sera ta famille ! Et ton prénom est trop long ... Comme nous sommes tes nouvelles mamans ... Tu seras ... notre petite Melrose ♥»
Hélina l'embrassa sur le front et lui mit de la mousse sur le nez ... jouant avec elle comme une gamine. L'ambiance était bon enfant. Mais derrière la porte La Grande Mère pleurant toutes les larmes de son corps. Elle devait cacher un lourd secret ... En rapport avec Octavine, la tante de ...
Melrose ~
Le troisième mouvement.
Les années passèrent et Marie-Rose, devenue Melrose dès son arrivée, avait enfin trouvé un endroit où vivre. Elle aimait cette endroit car ces jeunes filles lui donnaient de l'amour, de la compassion, tout ce qu'elle n'avait pas eu. Le souvenirs de ses parents disparaissait petit à petit, laissant place à des bons moments avec Hélina et tous les autres membres de cette grande famille pour le peu, spéciale. Un cocon douillé et chaud où il faisait bon d'y vivre. Le manoir n’accueillait que peu de client chaque mois, surtout des habitués qui souvent tombaient amoureux de ces dames aux courbettes affriolantes. Mais une annonce changea ce rythme de vie. Quelques mois avant son dix-neuvième anniversaire. « _Grande Mère ! Grande Mère, c'est aujourd'hui que...
_ Ne me dis pas que c'est ce jour là ! Questionna Ophé la matrone.
_ Malheureusement si … Soupira de stupeur Hélina »
Tout le manoir frissonnait à l'entente de cette annonce et avait espéré que ce jour-là ne vienne jamais. Tout les dix années, le propriétaire de la chaîne de maison de ''bonne fortune'' faisait sa tournée et un informateur était présent afin d'annoncer l'horrible nouvelle. Mais aussitôt arrivé, il se mit en chemin pour partir. Bon ou mauvais présage ?
[…]
Quelques heures passèrent, le manoir était chamboulé, tout le monde courait de tout les cotés afin de nettoyer, cacher certaine chose telle que … Melrose. Soudain, la porte s'ouvrit et un homme richement vêtu dépassa le seuil de la porte. Ophé lui fit une révérence et alla lui ôter son lourd manteau. Il prit la parole dans une silence d'église.
Charles.
« _
Je me présente, je suis Charles, et je suis votre nouveau propriétaire. Mon père étant décédé, je prends donc la relève. Soyez-en sûr ! Personne ne doit me cacher un chose, sous peine de subir une punition... Mettez-vous ceci dans vos petites têtes de femme à petite vertu. Vous m'appartenez ! »
Melrose était cachée dans un débarra, où costume et vêtement étaient empilés à grand nombre. L'entrée demeurait petite et sur le coté une couloir à quelque pas de la grande porte. Elle avait quelque frisson mais n'avait pas tellement peur... Sa raison lui soufflait que cette homme n'était sûrement pas un diable. Mais, il n'y avait pas que sa raison qui soufflait des paroles... L'informateur n'était qu'un sous-fifre de Charles et il avait remarqué une nouvelle dont la beauté ne pouvait laisser de marbre.
« _Au fait, on m'a dit qu'il y avait une nouvelle … Où est-elle ?
_Qui vous a dit ça ? C'est faux ! Répondit Hélina de sa grosse voix.
_ Comment oses-tu me répondre sur ce ton … Traînée ! Cherchez-les vous deux ! »
~ Suppléments ~
~ Particularités propres à votre espèce : Aucun.
~ Ce que vous aimez : Melrose adore les fruits propres à chaque saison. Elle apprécit beaucoup la nature et ses particularités apaisante. Elle aime plus particulièrement les enfants ... leur innocence.
~ Ce que vous détestez : Les hommes dotés d'une perversité déconcertante.
~ Vos peurs : Elle a peur des hommes mûres... des adultes plus précisément. Les enfants ou même les adolescents de sexe masculin ne lui font pas peur...
~ Arme(s) : Une simple dague lui servant de protection.
~ Signe(s) particulier(s) : Toujours vêtue d'une robe majoritairement blanche.
~ Points forts : Sa peur, qui doit être pénalisant peut lui être bénéfique. Toutes les tentatives de séduction seront vaines avev Melrose qui a apprit la confiance ne s'offrait pas facilement. N'étant pas naïve, elle sera capable d'analyser les circonstances rapidement l'aidant à donner confiance ou pas. Même si elle n'a pas reçu une éducation de sage, elle est intelligente et apprend très vite. Une qualité.
~ Points faibles : La violence. Malgré une façade froide telle un bloc de glace, elle garde en elle l'âme d'une petite fille apeurée. Les blessures de son enfance reste en elle. Elle est très sensible même si elle ne pleure pas. (Façon de parler xD)
~ Mes secrets ~
~ Pouvoirs : ~ Capacités spéciales : Rien de très spécial ...
~ Talent secret : Le mauvais oeil. Elle est capable de faire un regard tellement noir et mauvais qu'elle peut dissuader les êtres-vivant de s'approcher d'elle. Un talent pas très interressant mais qui porte ses fruits dans plusieurs circonstances.
~ Utilitaires ~
~ Ma couleur utilisée : Orchid ~ #DA70D6
~ Lien de votre inventaire : https://www.lauthentique-destiny.net/t1164-melrose-et-son-inventaire#58442~ Code : approuvé par Emy
~ Origine, Désir ou Mystère ~
~ P.N.J : Non.
~ Narrateur : Oui pour insertion de mon personnage dans un rp déjà commencé.
~ Le premier pas : Je pense que pour l'insertion, il vaut mieux laisser faire le Narrateur.
~ Origine : "Par exemple: Melrose s'échappa furtivement à travers les chemins sinueux et enneigés de Freezis. La fatigue, à mainte et mainte reprise lui fit douter de sa chance de survie, soudain, elle vit un groupe et s'empressa de les rejoindre pour ensuite s'écrouler à leurs pieds. (Où quelque chose de ce genre.)"
Mais vous pouvez faire après comme bon vous semble. Vous saurez m'inscruter parfaitement ♥~ Approbation d'Elfwyn : "Seul Elfwyn y répond"
~ Votre niveau dans le rôle play ~
~ Test RP : "Merci de choisir parmi les 4 situations proposées ... (Duel/bataille, tendresse/amour, Gore/horreur, Humour/folie) 15 lignes pleines minimum à 30 lignes pleines maximum"
~ Une pensée personnelle à faire partager ? ~ ~ Votre petit mot :
~ Statut ~
~ Terminée ~