~ Mon identité ~
~ Prénom : Maxence
~ Nom : Corvidaé
~ Surnom : Une fois on m'a surnommée « Sale petit voleur, attend que je t'attrape ! ». C'est long, je l'admet.
~ Âge : 12 ans
~ Jour & Mois de naissance : 12 Phobos de Anemos
~ Sexe : Fille
~ Race : Hybride (mi-humain, mi-oiseau [Une pie en l’occurrence]).
~ Lieu de naissance : Continent des Hybrides
~ Lieu où vous vous trouvez actuellement : Nandis
~ Classe : Sans classe
~ Alignement : Chaotique : neutre.
~ Apprenez à me connaître ~
~ Description Physique : Mademoiselle Corvidaé est un adolescente tout ce qu'il y a de plus banal. Enfin en apparence. Certes, elle est assez petite pour son âge. Et oui, elle mesure seulement un mètre vingt-sept. Sa peau est assez blanche et duveteuse, rappelant le plumage des oiseaux. Elle a de beaux cheveux ébène qu'elle s'obstine à couper court. S'il advenait à pleuvoir, ses cheveux ne seront pas mouillés, l'eau glisserait dessus sans y pénétrer. Elle a de très beau yeux doré, contrairement à sa sœur jumelle qui les a de couleur bleue cristal. Son nez est tout petit et sa bouche est fine. Bien des mensonge en sont sorti de celle là.
Malgré sa petite taille, elle reste assez proportionné. Elle est fine de partout. Des seins jusqu'au cheville en passant par la taille. Par ailleurs, cela l'arrange bien d'être si plate, ainsi, elle se fait facilement passer pour un petit garçon. Habituellement, elle porte des vêtements simples,une chemise, un short et des bottes ou des chaussures compensées. Mais parfois elle porte les bijoux et vêtements qu'elle à volée. Ce qui fait parfois qu'on la prend pour une gosse de riche. Elle à également un cache-oeil car elle joue souvent au pirate mais aussi parce que c'est classe ! C'est pour cela qu'il n'ait pas toujours du même côté.
~ Description Psychologique : Malgré qu'elle a vécu la plupart de son enfance sans ses parents. Maxence est restée une gamine dans sa tête. Elle aime jouer et jouer des tours. Avant d'être une question de survie, elle a tourné le vol à la dérision et ne le fait que part pur plaisir. C'est si facile de voler des objets légers, mais de valeurs inestimables quand on est un oiseau. Elle ne prend donc rien au sérieux.
Étant une vraie cruche en socialisation, elle ne se fait pas facilement d'ami. Et sa cleptomanie ne fait qu'empirer son cas. Elle compte donc sur son imagination pour jouer avec pleins d'amis qui lui ressemblent. Parfois, elle se change en pie et survole Astrune. Malgré son innocence enfantine, elle n'en est pas moins consciente que sa race est sur le fil du rasoir. Elle veille donc à rester discrète avec ses transformations.
Comme elle fait tout pour ressemblait à un garçon, elle essaye de laisser paraître le moins de sentiment possible. Certes, il y arrive souvent d'être effrayé, de pleurer, d'être heureuse et de sourire, mais cela, c'est en privé et en comité restreint. Tout de fois, elle sait se montrer reconnaissante quand il le faut. Mais n'oublions pas, c'est un oiseau fragile et elle le sait. Il ne faut donc pas compter sur sa loyauté. C'est une lâche qui ne perd pas une occasion pour prendre la poudre escampette. Loin d'elle l'idée de gonfler son torse à la venu d'un grand méchant. Elle préférera largement s'en aller à tire d'aile si vous permettez l'expression.
Pour résumé, elle adore s'amuser et voler, mais si la situation se complique, elle se sauve. C'est aussi simple que cela.
~ Biographie & Histoire :Il y a pas plus de douze ans. Une femme pie, qui avait fait son nid dans un arbre très robuste, couvait sa portée. Elle avait pondu deux oeufs. Quand ces derniers eût éclot, on pouvait voir deux magnifique filles. L'une avait des ailes noires comme sa mère mais l'autre avait tout d'une humaine. Pas d'ailes, pas de queue de pie... rien. Mise à part un tatouage en forme d'ailes dans le dos. Elle comprit alors que ces ailes n'apparaîtraient que quand elle grandirait. Une différence se notait aussi à la couleur de leurs yeux, l'une bleue claire et l'autre or. Elle décida de les appeler Ophélie et Maxence.
Comme le père a été tué par une flèche il y a quelques jours, la mère s'occupait seule de leur ramener de la nourriture. Si bien qu'un jour, pendant l'absence de la jeune femme, un autre homme oiseau vînt squatter le nid des petites. Pas du tout civiliser, il les balança du haut du nid. Ophélie déploya ses ailes, mais Maxence, elle, se changea carrément en pie. Elles eurent juste assez de temps pour amortir la chute. À terre, Maxence ne reprit pas sa forme humaine de suite.
- Yahou, tu es un vrai oiseau ! Maxence ne comprit pas de suite, elle se regarda dans une flaque d'eau et fût si ébahit qu'elle tomba à la renverse en reprenant sa forme initiale. Ophélie, plus amusée qu'inquiète, applaudit bien fort. Elles étaient petites, mais leur instinct de survie était bien aiguisé. Elles ne s'entêtèrent pas à remonter au nid, mais plutôt à chercher de la nourriture, car leur estomac grondait. Maxence essaya de se changeait à nouveau en pie mais c'était une chose vaine. Ophélie s'envola donc et piqua vers un lac non loin de là. Quand elle revînt, elle avait deux gros poissons dans ses mains. Elle en donna un à Maxence et les deux petites filles arrachèrent la chair sans plus de manière. Pendant le repas, Ophélie lui expliqua que les serres qui lui servaient de doigts lui servaient à accrocher fermement les poissons qu'elle convoitait. Maxence regarda ses propres doigts. Ils avaient juste de longs ongles, mais de griffe ni de serres. Attristé, elle avait perdu tout appétit, Ophélie la consola :
- C'est pas grave. Tu restes mon frère malgré tout. Maxence ne releva pas cette faute de genre de la part de sa soeur adorée. Cela lui convenait parfaitement. Ophélie l'avait toujours pris pour le mâle de la portée, car elle ressemblait en tout point à leur défunt père... En tout cas c'était ce que disait leur mère. Donc pour la petite, Maxence était le frère protecteur... Si cela pouvait la rassurer, Max acceptait d'endosser ce rôle.
Pendant des années les petites apprirent à se débrouiller seule. Leur escapade les rapprochèrent des terres peuplées. Grande erreur de leur part, alors qu'elles cherchèrent de la nourriture sur les plaines. Trois hommes les virent. C'était des marchands d'esclaves en quête de jeune fille à enlever pour les vendre. Il n'aurait pas mieux trouvé que de ravissante petite hybride. C'était surtout Ophélie qui les intéressait. Ils prenaient Maxence pour une humaine tout à fait normal. Cette dernière fût la première à flairer le danger :
- Ophélie, il faut y aller.- Eh ? Mais j'ai faim moi.Elles n'eurent pas le temps de dire un mot de plus que deux des trois hommes les saisirent. Ophélie battait furieusement des ailes, ce qui donnait du fil à retordre aux bandit qui ne voulait pour rien au monde froissé ces jolies plumes. Paniqué, Maxence se transforma en pie et s'envola le plus loin possible. Ce sont les hurlements de sa soeur, la voyant déguerpir, qui la ramenèrent à la raison. Malheureusement, elle ne savait pas comment redevenir normal. Elle décida donc de fondre sur les bandits, elle s'accrocha aux cheveux de celui qui retenait Ophélie et tira fort dessus. Malheureusement un autre la gifla si fort qu'elle tomba par terre. Sonné, elle n'eût pas le temps de reprendre son envol que les marchands d'esclave la mît dans un sac. Un « pouf » résonna et la besace s'alourdit, témoignant qu'elle avait reprit son apparence normal.
Maxence et Ophélie furent emprisonnée avec les autres esclaves. Rien n'était fait pour la rassurer, même pas ces congénères. Ils lui dirent qu'ils allaient être vendu ou ils mourraient. Les petites s'épaulèrent en se disant que ce calvaire finirait au matin. Hélas, rien de tout cela n'était un mauvais cauchemars. Jamais elles ne reverraient leurs nids douillet et jamais plus elles ne survoleront Astrune.
Souvent, les brigands faisait halte pour vendre leur « marchandise ». Un jour, la caravane fût arrêtée par un soldat. Celui-ci demanda à voir Ophélie. Elle fût arrachée au bras de sa sœur. L'homme en armure saisit violemment le bras de l'enfant et lui enfonça une dague en plein cœur. Cet acte barbare et froid arracha un cri du fond des tripes de Maxence. Elle se rua sur le soldat en le martelant de coup de poings. Peine perdu, la petite se faisait plus mal qu'elle n'en faisant. Avec la même froideur, il la jeta à terre. Elle se pencha sur sa sœur agonisante. Pleurant toutes les larmes de son corps elle prit Ophélie dans ses bras, se moquant éperdument du sang qui maculait ses haillons.
- Quels sont ces larmes mon frère ? Les garçons ça ne pleure pas. Dit-elle en souriant, le visage ensanglanté.
Maxence se contenta d'un hochement de la tête.
- Oh Mais regarde la vie, mon frère ? Elle s'échappe, elle s'en va. Vis pour nous deux, mon frère, toi qui possède fermement la vie en toi.Ophélie ne pût en dire plus, elle cracha du sang. Le marchand voulût saisir le bras de Maxence, mais celle-ci se transforma en pie et s'envola loin d'elle, ne laissant pour trace que ces haillons laissé sur place et le sang d'Ophélie qui dégoulinant encore de ces pattes.
Les dernières paroles de la jeune poignardé furent :
- Maman, j'arrive.Le vent d'Astrune emporta Maxence à Nandis. Elle se posa sur un toit malgré la pluie. Toute nue, elle ne se souciait de rien. Elle passait le reste de la journée à pleurer. Elle devait faire le deuil de sa soeur avant de vivre pour elles deux. Elle n'avait pas eu le temps le lui promettre, mais elle comptait bien survivre et vivre. Elle s'endormit sur la toiture en songeant à tout ce qu'elle avait traversé avec Ophélie.
Le lendemain matin. Elle jugea bout d'aller s'habiller. Elle se transforma à nouveau en pie chapardeuse et se rendît à la première fenêtre ouverte. Elle vît une chemise à jabot blanche soigneusement plié avec un short et des bottes compensées posés sur une chaise. Après s'être assuré que personne n'était dans la pièce, elle se transforma à nouveau et enfila les vêtements. Pile à sa taille, quelle chance !
Afin de ne pas perdre à nouveau ses vêtements, elle escalada la façade afin de rejoindre la rue. Elle n'avait pas vu qu'un garçon de son âge l'observait. Ébahit mais téméraire, il l'accosta une fois au sol.
- Yahou, tu es sacrément agile !Maxence surprise, ne répondit pas.
- Je m'appelle Christopher. - Maxence. Murmura-t-elle.
- Joli prénom pour un garçon. Tu habites dans l'coin ?Maxence répondit non de la tête.
- Oh je vois, je vais te faire visiter ! Christopher prit la main de Maxence et lui fît visiter l'énorme cité qu'était Nandis. Le garçon ne devait pas être plus âgé qu'elle. Il avait des cheveux noirs qui lui arrivaient à l'épaule et de charmant yeux bleu qui rappelait ceux d'Ophélie. Ils déambulèrent surtout dans les rues de Nandis. Le garçon cita chaque adresse et les détailla comme ci il avait vécu leur histoire. Le soir venu. Le garçon pénétra dans une modeste demeure. Au début Maxence pensait qu'il habitait là. Mais le garçon contourna la maison et se glissa dans le soupirail. La jeune fille trouva cette façon amusante de rentrer dans une maison.
- Viens vite, T'as la frousse ?Maxence arqua un sourcil. Elle glissa à sa suite. Le soupirail déboucher dans une cave aménagée en petit studio. Il y avait une très vieille cuisinière qui chauffait la pièce, deux couches faites en paille et linges. Mais surtout, beaucoup d'objets brillant ! Des bijoux, des plats, des sacs d'ors.
- Tu habites ici ?- Ouais. Il y a longtemps les propriétaires ont condamné cette cuisinière, car elle était envahie par les rats. Ils sont bête. Je vivais avec mon frère, mais il s'est fait choppé par les gardes. Tu peux rester ici autant que tu voudras. On est ami, n'est-ce pas ?Achevant de la convaincre ; Christopher sortit deux pommes et la lui en lança une. Maxence l'attrapa au vol et hocha la tête en murmurant :
- Oui.- Génial. Puis ils croquèrent leurs fruits en même temps. Ils en riaient. C'était la première fois que Maxence riait depuis la capture.
Depuis ce jour, à l'instar de Christopher, Maxence se versa dans l'art du vol. Ils doublèrent leur richesse en quelque mois à peine. Mais ils restaient des gamins et passait la plupart du temps à jouer dans la rue qu'à autre chose. C'est aussi à partir de ce jour que « elle » devînt « il » pour Maxence.
~ Suppléments ~
~ Particularités propres à votre espèce : Elle peut se métamorphosé en pie. Mais de un, elle évite en publique, deux, elle se fatigue plus vite métamorphosé.
~ Ce que vous aimez : Tout ce qui brille. Chaparder et jouer.
~ Ce que vous détestez : Les soldats, les cages, les trucs moches.
~ Vos peurs : De ne plus savoir voler. De la mort (bien évidemment), de se retrouver de nouveau face au marchand d'esclave. Et aussi de se faire prendre la main dans le sac. Que ces ailes poussent
~ Arme(s) : Aucune. Elle est trop jeune.
~ Signe(s) particulier(s) : Un tatouage d'ailes de pie sur les omoplates.
~ Points forts : Bien qu'à l'origine c'est un oiseau, elle est particulièrement agile et peux facilement escalader des hauteurs même abrupte. Elle sait voler dans les deux sens du termes et ça c'est un gros avantage. Elle ment d'une façon parfaite et est très bonne comédienne. C'est également une spécialiste de la fuite.
~ Points faibles : Comme c'est une spécialiste de la fuite, c'est également une lâche. Ne jamais compter sur elle et ça Christopher l'a bien comprit. C'est aussi leur credo de toute façon « Chacun pour soi » quand la situation s'envenime. C'est une gamine, donc elle est de faibles constitutions et ne feras le point devant rien en cas de bataille. C'est une cleptomane, donc elle volera sans même s'en rendre compte. Gare à vos poches.
~ Mes secrets ~
~ Pouvoirs : Aucun.
~ Capacités spéciales : Métamorphose en pie bavarde.
~ Talent secret : Un excellent talent pour le vol et le mensonge.
~ Utilitaires ~
~ Ma couleur utilisée : Royalblue ~ #4169E1
~ Lien de votre inventaire : https://www.lauthentique-destiny.net/t1297-les-poches-de-maxence#62513~ Code : Approuvé par Elfwyn !
~ Origine, Désir ou Mystère ~
Alors là je suis perdu... je vais essayez de pas répondre au pif.
~ P.N.J : Non
~ Narrateur : Oui
~ Le premier pas : Narrateur~ Approbation d'Elfwyn : Fort bien, mais c'est à tes risques et périls.~ Mystère : Je vote pour le mystère, c'est tellement bon !
~ Votre niveau dans le rôle play ~
~ Test RP : Tendresse/amour
Maxence et Christopher se baladait dans les rues de Nandis. Elles étaient bondées, comme à leur habitude. Christopher trimbalait avec lui un tissu d'une qualité modeste. Il en avait pourtant des dix fois plus beau à leur repaire. Mais celui là avait une utilité très spéciale.
Une fois qu'ils eurent localisé leurs cibles. Christopher se lança le premier suivi de près par Max. Le premier tira sur la manche d'un voyageur. Il avait pris soin que son sac soit hors de son champ de vision.
- Regarder monsieur mon joli tissu. C'est ma maman qui me l'a fait. Il est beau, n'est-ce pas, hein monsieur ?Maxence en profita pour ouvrir la besace du voyageur et lui prit sa bourse d'or. Puis il se faufila dans une rue moins bondé. Il compta les pièces. 253 nitsed's. Pas mal. Christopher était parti de son côté. Maxence en profita pour se diriger vers un stand et se permit de prendre une pomme sans payer. Il avait volontairement fait exprès de se faire voir. C'était un jeu de braver ses peurs. Dans un flot d'injures, le commerçant courut après le chapardeur. Plus léger, il était plus rapide que ce gros joufflue de marchand. Le prix de ces pommes était cruellement excessive. Jamais Maxence ne mettrait un Nitsed's dans sa caisse. En riant aux éclats, L'enfant se dirigea vers les quartiers pauvres. Contre toute attentes, le commerçant était tenace et, en plus de cela, il avait alerté les gardes. Il était habitué au course poursuite, mais celle là allait demander quelque enfreinte aux règles. Une fois suffisamment loin, il piqua vers une impasse. En se dirigeant vers le mur, ses bras laissé rapidement place à des plumes et en une fraction de seconde le garçon manqué devînt une sulfureuse pie. Il prit son envol laissant ses poursuivant derrière lui. Il avait bien calculé son coup, personne ne l'avait vu se transformer.
Combattre les courants étaient difficiles, si bien que Maxence se posa, rapidement, sur le rebord d'une fenêtre. Il reprît son souffle, il n'avait pas eu le temps de voir la petite fille derrière. Elle saisit un sac de toile et l'abattis sur le pauvre Max.
- Grand-mère, Grand-mère, j'ai trouvé un oiseau !- Voyons mademoiselle, ne dérangez pas votre grand-mère pour si peu. Laissez le s'envoler. Lui demanda la servante.- Oh non Mathilda, allez plutôt me chercher une cage. Il est si beau, je veux le garder.La servante soupira et quitta la pièce. Maxence se débattît comme une furie, essaya de percer le sac à coup de bec et de pattes, en vain. Puisque l'agressivité était vaine. Max allez recourir à un autre moyen. Mathilda revînt avec une immense cage d'or. Elle aida la petite à mettre l'oiseau en cage. La pie attendît que la servante parte pour s'adresser à la fille.
- Oh non, si je reste derrière ces barreaux, je sens que je vais mourir.
La petite sursauta, mais devina rapidement que c'était l'oiseau qui parlait.
- Tu n'es pas un vrai oiseau toi ?- Non... Je suis un prince d'un lointain continent. Une sorcière m'a envoyé loin de mon royaume et m'a changé en pie. Seule un baiser peut me libérer de ce mauvais sort. Aide-moi je t'en prie. La petite fille crût se trouver dans un comte de fées. Elle ouvrit la cage avec soin et tendît son doigt afin que Max se pose dessus. Elle déposa doucement un doux baiser sur le bec de Maxence. Celui-ci se métamorphosa en sa forme originelle, prenant soin de cacher son sexe inexistant. Il lui fît un magnifique sourire.
- Merci, grâce à toi je vais pouvoir rentrer chez moi. Mais avant cela j'aimerais te remercier. Il saisit la fille par les épaules et l'enlaça. La petite devînt aussi rouge qu'une tomate. Il la prit par le menton et lui souffla à l'oreille :
- Comment t'appelle tu ?- A... Ad... Adélaïde !- C'est joli.Il l'embrassa sur le bord des lèvres et lui souffla à nouveaux :
- Tu serais une bien jolie princesse. Une fois grande, je demanderais à ma garde de venir te chercher pour t'épouser. Tu sauras te montrer patiente d'ici là ?La petite, si surprise, hocha la tête. Toujours aussi rouge elle se leva en disant :
- Je... je vais vous chercher de quoi vous habillez.Puis elle sortit de la pièce. Maxence soupira, amusé. Il s'était pris au jeu à une telle vitesse que cela devenait naturel. Sa vie est devenue un jeu. Chaque fenêtre pouvait cacher un nouveau personnage. Aujourd'hui Prince victime d'un mauvais... Demain il sera Pirates ou Tyran. Ainsi était sa vie. Adélaïde revînt quelque minute plus tard, de beaux vêtement à bout de bras. Max demanda à la petite de se retourner le temps qu'il enfile les vêtements. Il était touché par l'innocence de la petite. Une fois habillé, il enlaça Adélaïde, toujours de dos et lui murmura un au revoir aux creux de son oreille. Elle lui proposa de le raccompagner à la porte, mais Max déclina. Il ne souhaitait pas se faire voir par les domestiques.
Dans le couloir, avant de s'échapper par la fenêtre, Max remarqua une jolie montre a gousset posé sur une commode dans le couloir. Il la cacha rapidement dans sa veste. Ouvrit la fenêtre et descendit le long de la façade avant de courir vers les habitations.
De retour au repaire, Christopher lui demanda pourquoi il avait mis autant de temps. Maxence lui répondit avec un sourire largement provocateur :
- J'ai pris mon pied. Le garçon le tanna pour avoir plus d'informations, mais Max resta muet là-dessus. Pour le distraire, il lui lança la montre voler et Christopher commença à s'émerveiller en la détailla... Gagné. Max caressa ses lèvres en se disant que c'était son premier baiser.
~ Une pensée personnelle à faire partager ? ~
~ Statut ~
~ Terminé ~