Voilà c'était le début, le sang allez couler que ce soit des mains de notre vampire ou non la dague ensanglanter était désigner, des assassin hors pair, des espions de toutes les races et de toutes les région, mais on n'était pas la pour discuter, il fallait signer le pacte d'une façon bien précise, il fallait tuer. Les fervent de la paix n'était pas le bienvenue ici il fallait être un tueur, sans cœur. Kuragari chercher quelqu'un au sang pur, pourquoi? Il n'y à rien de tel pour signer un pacte comme pour se régaler que du sang pur, vous pensait bien que kuragari n'aller pas tuer n'importe qui, non c'est plus intéressant de faire les chose grand avec de petite personne, il attrapa donc un enfant et le traina dans une ruelle, le petit comprenant qu'il était en danger se mis à crier, des cri toujours aussi agréable pour notre vampire, une fois dans la ruelle il brisa une des jambe de l'enfant qui hurla de plus belle, l’odeur de son sang m'était dans tout ses état le vampire.

«-Ne ten fait pas je vais faire sa faire ça vite.»

Il sortit une dague qui était attacher à sa taille puis planta la dague lentement et profondément en direction du cœur, chose qui lui provoqua une satisfaction sans égal, une fois l'enfant mort il se mis à partir, mais qui allez faire la découverte macabre de cette enfant? On ne le sera pas.

Beuh... Un RP T.T
Bon allez je m'y met :

Spoiler:

Le soleil se couchait, l’heure pour les ombres de sortir. A l’abri des regards, l’elfe noire attendait. Pas besoin de se presser, elle connaissait sa destination et sa cible. Lorsque les derniers rayons du soleil eurent cessé d’éclairer la ville, elle décida de bouger. Silencieuse dans la nuit, elle se glissa jusqu’au bâtiment. Un bref instant d’attente et elle s’engouffra dedans. Discrète, elle grimpa à l’étage, poussa la porte désirée et se camoufla de nouveau dans l‘ombre. Son attente ne fut pas longue et bientôt la porte s’ouvrit. L’homme entra, inconscient de ce qui l’attendait. Lorsque la porte fut refermée et qu’il lui eut tourné le dos pour allumer le chandelier, l’elfe noire passa à l’action. Dans un léger chuintement, sa dague fut dégainée tandis qu’elle s’élançait dans le dos de sa proie. La main gauche se posa sur la bouche de sa victime, empêchant tout cri de sortir tandis que la lame effilée de sa dague lui tranchait la gorge d’un coup net et précis. La dague ouvrit la peau fine du cou et s’enfonça suffisamment pour trancher la carotide, laissant jaillir un flot de sang. L’elfe noire accompagna la chute de sa cible, évitant tout bruit trop explicite. Puis, rangeant sa dague, elle observa quelques instants le macabre spectacle de l’homme allongé au sol, le sang s’échappant de la plaie. La Drow se détourna et sortit par la fenêtre, une légère esquisse de sourire aux lèvres, signe de sa satisfaction face au travail accompli.

(P.S. Ayant connaissance des changements qui se font de ton écran au mien, je tien à préciser que ce texte rentre, chez moi, dans 15 lignes word en écriture standard : la time en taille 12.)

J’avais enfin mes informations, cet homme m’avait causé pas mal de fil à retordre mais maintenant c’était finit ! Ce fut avec un air de satisfaction que je me mis à jouer le jeu du faux espoir en le laissant croire qu’il allait repartir en vie. Mais je ne le laisserai pas, il détenait maintenant de quoi informer mon ennemi qu’il serait attaqué par moi. Il se releva, s’apprêta à s’enfuir mais je le pris de court en lui plantant la lame de ma dague dans sa hanche droite et la retirer sèchement, lui arrachant un cri grave et une cascade de sang et de tripe s’ensuivis. Enchaînant d’un coup de pied, il tomba en arrière et je le plaquai au sol. Son regard était terrifié, il voyait qui j’étais réellement maintenant et avait compris que son maître n’aurait aucunes chances s’il se faisait avoir. Mon visage tâché de son sang pourrit, je levai mon arme au-dessus de ma tête et l’abattis sur le torse de l’homme à diverses reprises. Je m’acharnais dessus. J’y passais toute ma haine que je retenais depuis si longtemps mais ce ne serait jamais suffisant. Pour finalement lui trancher la gorge, achevant sa longue et terrible agonie… Le silence était de mise, je restais au-dessus de ma victime, prise d’une certaine tranquillité avant de me lever et embraquer l’arme avec moi. Laissant cette scène macabre à la vue d’un premier passant qui passerait dans cette ruelle…