Deux mondes, deux peuples, Une barrière...

Les rencontres ne sont jamais par hasard..leurs regard se sont croisés et plus jamais leur coeur ne se sont quittés. Mais l'une vit au dessus de l'autre, en guerre contre son peuple, ils ne peuvent être ensemble, on les massacrerais, on les tuerait. Ils pensaient de même avant de se croiser... Maintenant les questions se posent dans leurs esprits: pourquoi tant de haine et de violence? Hormis cette couleur ne sont ils pas frères et soeurs de races? La cohabitation serait surement possible. Ces deux êtres sont en souffrance en pleine imcompréhension. Aussi se contentent ils de se voir en cachette, sans un bruit, pas un geste, rien ne pouvant troubler la quiétude de leur mère, la nature qui est bien la seule à détenir leur secret, jusqu'au jour ou il se sentiront prêts à le dévoiler au grand jour.

La vie est comme un champ de bataille, quoi qu'il arrive il vous faudra constamment vous battre contre ce qui arrive en face et cette image l'illustre bien. Celle d'un guerrier déterminé à se battre contre l'adversité pour protéger les siens, sa force se concentrant le long de sa lame qui luit de la lumière de sa volonté de vivre et aimer les siens ! Bientôt il sera face à la mort mais ne faillira jamais parce que son regard sera plus fort, la force qui emplit son coeur surpassera la froideur du mal qui envahit celui qui qui est son vis-à-vis. Mais une mort certaine pour l'un des deux sera inévitable, que le force et détermination soient opposée ou non, chacun se bat pour les siens et ses propres idées. Mal ou bien, aucuns des deux n'existes vraiment, c'est la folie qui prime. Mais la détermination de ce guerrier est tellement grande qui l'emportera haut la main par la lumière qui enveloppe sa lame !

Faites place à votre imagination !

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Voler ou être mangé.



Il était seul et il si-il l'avait su avant, il ne l'aurait pas été. Ces temple désaffecté grouille de choses peu recommandables. Il en faisait l'expérience. Qui l'aurait cru ? Un temple d'origine sacré rempli de mort-vivant, c'est l'hôpital qui se moque de la charité ! Heureusement, il n'était pas fou non plus. Il avait pris un minuscule couteau avec lui. D'accord, un couteau contre des mangeurs de cerveaux, ces êtres capables de fendre votre crâne à coup de dents à moitié pourrie, ce n'était rien en apparence. Pour lui, ce couteau était sa seule chance de survie. Il ne savait pas comment on qualifiait un mort-vivant dans la case définitivement mort. Ce qu'il crut comprendre au premier, une fois son cou tranché, c'est qu'il avait du mal à se relever si une faculté motrice est atteinte. Un deuxième lui affligea une gifle digne d'un colosse. Son couteau tomba un peu plus loin. Il saisit une flèche laissée par des précédant courageux (qui n'ont pas dû faire long feu) et le ficha dans l'oeil si profondément qu'on entendit un suintement suivi d'un craquement. La flèche avait traversé le crâne de l'ancienne femme qui essayait de se saisir de son coeur a même le poitrail. Il eut juste le temps de la pousser et d'aller rechercher son couteau. À quelque mètre seulement, le dernier mort-vivant lui attrapa les jambes. Sur le point de la mordre, le voleur lui donna un coup de pied qui fît un tour de 80° a crâne de l'ancien vivant. Il saisit alors que le mort-vivant, à la tête retournée, se jeta de tout son être sur lui. Le voleur, qui n'avait pas eu le temps de se relever, para son agresseur avec ses jambes le projeta au-dessus de lui. Il en profita pour lui inciser le poitrail avec son couteau.
A genoux, prêt à renouveler ces coups, il s'assura que les mort-vivant était définitivement passé du côté de la Faucheuse. Le trésor lui tendais les mains