~ Mon identité ~ ~ Prénom : Elhen
~ Nom : Dumafite
~ Surnom : La duchesse aux camélias
~ Âge : 9.438 ans
~ Jour & Mois de naissance : Le 4 phobos du mois de Vita
~ Sexe : Féminin
~ Race : Vampire
~ Lieu de naissance : Originaire de Mystiül
~ Lieu où vous vous trouvez actuellement : Sur la terre du Phénix
~ Classe : Aristocrate
~ Alignement : Neutre-mauvais
~ Apprenez à me connaître ~
~ Description Physique : De taille moyenne, assez svelte, en somme, rien qui ne me différencie d'une madame tout le monde. Enfin.. à quelques détails près. Pour y aller crescendo, commençons par le plus évident; Mes iris écarlates. Leur teinte rouge vif inspire la méfiance et la crainte, à raison. Vient ensuite mon sourire, lèvres closes il séduit, mais à pleines dents, il terrifie! Je suppose que mes canines y sont pour quelque chose. Dans la pénombre, mes yeux carmins s'embrasent, tandis que mes dents ressortent, endiablant par un effet de contraste, ma sinistre silhouette. Toujours tirée à quatre épingles, je me fonds dans la haute société comme l'anguille dans une eau poissonneuse. Ma démarche est celle d'une dame, alors que mon coeur est celui d'une bête. Et bien que nombre de grandes familles connaissent mon appartenance à la race des vampires, elles savent quand il est possible ou non de faire affaire avec moi. Au fil des millénaires, je sus me faire une place dans ce monde gorgé de nobles guindés, pour qui l'appétence n'a point de limites.
Le camélia sur mon habit est justement là pour exprimer mes intentions, sans que ma bouche n'ait à le faire. Le blanc indique que je suis ouverte à la discussion dans sa globalité. Les tons roses quant à eux, évoquent le business ou toute affaire susceptible de générer du profit. Concernant la fleur rouge en revanche, il devient alors préférable de m'éviter! Car celle-ci alerte que je suis en chasse et que je compte tuer une personne qui m'aurait causé, d'une manière ou d'une autre, un tort dont elle n'est pas prête de se remettre. Puis vient mon préféré, tant pour sa beauté que pour la signification qu'il revête. Le camélia blanc taché de rouge! Si je venais à m'exhiber avec, un génocide s'en suivrait!
Lorsque vient le moment de retirer tous ces froufrous, les vestiges de ma divinité transparaissent sous forme de tatouages à l'effigie du serpent. Je souris à leur vue, car la vipère est, et sera toujours là! J'ai beau avoir embrassé l'immortalité de Kryos, je prends grand soin de mon corps que je toilette minutieusement jusque dans les moindre recoins dès que j'en éprouve le besoin. Si je venais à siroter du sang, je m'empresserais alors de mâcher de la camomille, ou encore une feuille de menthe pour que l'odeur ne trahisse point mon côté bestial. Je suis un vampire certes, une impitoyable prédatrice, mais je n'en demeure pas moins civilisée. Raffinée jusque dans ma manière d'occire.
~ Description Psychologique : J'ai causé bien des drames, mais en dépit de ce savoir, je demeure d'une nature modeste. Les larmes et le sang qui découlent de mes manigances ne sont, pour moi, guère une source de délices. J'accomplis ce que je suis, rien de plus. Après tout, le géant ne se satisfait point d'être grand. Et bien que j'éprouve des émotions, celles-ci divergent du commun des mortels.
Oeuvrant depuis les coulisses, je ne cherche point à être la starlette de mon épopée. J'aspire à la fin du monde et des cieux, mais nul ne saura jamais qui en a été le vecteur. Mon seul véritable souhait, siège au sein de mon chapitre final. Disparaitre en apothéose serait pour moi la conclusion magistrale à tout ce que j'ai pu fomenter.
~ Apprenez à véritablement me connaître ~
~ Prénom : Silcari
~ Surnom : La vipère
~ Âge : Bien au-delà des 50.000 ans
~ Sexe : Féminin
~ Race : Istën du dessein
~ Lieu de naissance : De la main de Damariel
~ Biographie & Histoire : Qui je suis, ne revête aucune espèce d'importance. Ce que je suis en revanche, nous a mené là où nous en sommes aujourd'hui. Oui, j'ai bien dit; nous. Car je fais désormais parti d'un tout.Première phase: La création
Peut-être ne fus-je qu'un songe, une émotion, une idée. Jamais je ne le sus, mais à un moment, surgis du vide, je pris forme. Je n'avais alors aucune apparence, ni même de conscience, mais j'étais là, flottant dans les méandres d'un esprit tourmenté. Dénué d'attache, de raison d'être, je finis par éclore. Au cours d'un échange qui se voulait constructif, je murmurai à mon hôte combien c'était mal de discuter de cela, et ce, même si j'ignorais tout des propos tenus. De ma brise insidieuse s'immisça le doute. Derrière mon écran de fumée, je fus en mesure de ressentir la secousse que j'avais provoqué. Ce n'était pas grand chose, pour ne pas dire rien. Mais à partir de ce moment, je sus combien l'esprit que j'arpentais me désirait.
Une part importante de son être me rejetait pourtant, et en dépit de ses efforts, elle fut incapable de me réduire à néant. A l'instar d'un air, ou encore d'une image que l'on ne parviendrait à chasser, je pris d'avantage d'espace, et finit par imposer mes desseins à sa volonté. Il en découla une nouvelle ère, qui, pour la première fois au sein de leur monde, vu naître la trahison. Cependant, conscient de sa propre déchéance, mon hôte, que ses subalternes nommaient; Damariel, se résolut à faire le grand ménage. Par le biais de sa forme divine, la déesse parvint à laver chaque recoin de son essence de ma souillure, souillure qu'elle avait pourtant contribué à nourrir. Regroupant chacun de mes particules, elle finit par me modeler afin de mieux pouvoir me détruire. Alors que je goutais vaguement à toute l'étendue de cette nouvelle existence, me faisant face, Damariel ne put se résoudre à m'exterminer. Plus que la culpabilité de pulvériser une part de ce qu'elle fut, celle-ci redoutait d'être derechef investie de mes desseins, de moi.
Désormais pure, Damariel m'isola dans les bas-fonds de son royaume qu'elle baptisa; l'oubli. J'avais peut-être disparu, au point que nul n'eut vent de mon existence, mais mon ombre continuait de planer parmi les Dieux. Les graines de la discorde avaient été semées, et bientôt viendrait le temps des moissons. Damariel ne siégeait guère dans l'oubli, et pourtant, tout comme moi, elle avait embrassé la solitude, y compris à l'égard de ses filles dont elle se défiait de faire l'éducation. Elle veilla à sa succession, mais redoutait tant et si bien mon retour, et ce que ça impliquait, qu'elle préféra se murer dans le silence.
Deuxième phase: La destruction d'Yloumnis
Quand ma prison se dissipa, je sus qu'il ne s'agissait point d'une libération. Ce savoir, fleurtant avec la divination, était aussi ce que l'on appelait; l'instinct. Or, comme j'en étais dépourvue, il me fallait savoir ce qu'il s'était passé. J'appris alors, par le constat, que Damariel avait veillé à sa propre destruction. Ne croyant pas un instant que celle-ci m'eut oublié avant d'amorcer sa disparition, je supposai que dans sa logique, elle m'emporterait dans la mort. Quoi que Damariel avait pu croire, depuis qu'elle m'eut extraite, je ne faisais plus guère partie de son essence. Si j'avais dû décliner, cela se serait produit dès l'instant de notre séparation. Je n'étais qu'une tumeur qui s'était greffée sur la surface lisse de sa conscience, une excroissance malfaisante dont elle sut se départir. Lorsqu'elle me modela pour me traiter comme son égale, la Déesse, bien malgré elle, me permit de subsister. Aussi autonome que pouvaient l'être ses filles, je lui survécus en dépit des efforts alloués à cette fin.
Après que Yloumnis eut volé en éclats, le domaine de chacune des divinités en présence s'effondra. Il en résulta une anarchie inédite dans l'histoire des Dieux. Andrias, Dievas, Istëns, Archanges, Anges et Esprits Séraphins, tous mélangés dans le giron d'une nébuleuse informe aux couleurs mourantes. Etant donné la stricte répartition des tâches en fonction de la hiérarchie avant l'extinction de Damariel, nul ne fut capable de reconnaître son voisin d'étage. Ce fut donc avec aisance que je pus m'agglomérer à la foule en panique. La pyramide n'était plus, une fatalité que Loominëi, fille désignée de Damariel pour lui succéder, comptait bien tourner à l'avantage commun. Manifestement résolue à ne point marcher dans les pas de sa génitrice, la jeune Déesse mit tout le monde à contribution, moi comprise. Je fus relativement étonnée par sa capacité d'écoute, son coeur était au moins aussi pur que le fut celui de Damariel avant que je ne le sclérose.
Loominëi se comportait et agissait comme si elle avait toutes les cartes en main, aussi continua t-elle de cultiver l'ignorance au sujet de sa mère. Je me gardai bien d'emplir sa coupe pour noyer ses carences dans le savoir. C'est pourquoi la Déesse du destin n'apprit jamais que Damariel construisit cette hiérarchie pyramidale, qu'après m'avoir banni dans l'oubli. Avant que je ne sois muselée, la divinité planétaire, mère d'Yloumnis, sollicitait elle aussi l'avis de tous ses semblables. Seulement, au contraire de sa fille au moment où je la découvris, elle entretenait un secret dont j'étais la seule à connaître. Peut-être l'avait-elle trop ignoré, ou simplement ne pouvait-elle plus lui résister. Ce mystère, que je nommai; dessein, souhaitait une harmonie parfaite entre ses pairs et le monde qu'elle avait conçu. Après que j'eus oeuvré pour lui donner corps, une Déesse colérique, maniaque, donneuse d'ordres et profondément taciturne, releva Damariel de ses fonctions. Je devins pour ainsi dire, l'essence même de cette locution: l'enfer est pavé de bonnes intentions.
Troisième phase: Le premier sang
Elevée par la solitude au coeur de ma cellule, je dus, pour la première fois, me trouver une identité. Un prénom me vint alors à l'esprit, le prénom d'une divinité qui ne cachait aucun dessein. C'est d'ailleurs lui qui permit à Damariel de se rendre compte de sa déviance. Et bien qu'il eut péri avec cette dernière, sans doute dans le fol espoir de la retenir, Iraclis demeurait gravé en moi. M'estimant comme étant son parfait contraire, je me drapai de son envers; Silcari. En revanche, je fus bien incapable de lui préciser mes attributions. Mais je n'eus point à la faire, étant une Istën, archiver avec les Anges ou balayer les nuages, c'était du pareil au même, je n'étais guère d'un grand secours. Ce fut par ailleurs mon seul et unique échange avec Loominëi. Cela se comprenait, la Déesse du Destin avaient besoin du concours de créateurs, des Dievas, et non d'Istëns qui étaient tout juste bons à colorier leur croquis. Cependant, Loominëi avait pris bonne note de mon absence de rôle, ainsi décida t-elle de m'adjoindre à Lolth pour la seconder.
Peu après la découverte d'Astrune, Lolth, encore stigmatisée par la destruction d'Yloumnis et de ses créatures que la peuplaient, devint l'heureuse propriétaire d'un nouveau dessein. Non contente de reproduire ce qu'elle avait conçu sous le règne de Damariel, elle entreprit aussi de se venger de la défunte mère en sapant la souveraineté de la fille. Mais quand celle-ci rejeta son projet "drow" après avoir découvert la noirceur qui l'habitait, Lolth perdit tout contrôle, allant jusqu'à faire usage de sa ruse pervertie à l'encontre de Kryos et Dorock. Je n'eus que peu d'efforts à fournir pour ainsi permettre à leur dessein de s'exprimer. Ces Dieux étaient si instables, si fragiles, qu'il suffit d'un rien pour les faire basculer. Tout cela devint par ailleurs si facile, que je dus me tourner vers d'autres horizons. Aussi, après que Lolth, Dorock et Kryos furent banni dans le royaume Abyssal, je me mis en quête d'un dessein un peu moins orienté vers la destruction, car à ce stade, c'est l'entièreté du monde Céleste qui finirait dans les Abysses. Or, je n'avais aucun intérêt à ce que cela se produise.
Ce fut donc seule, voguant parmi les Anges, que je fis la rencontre de Sinah, Déesse de la sagesse. Bien qu'elle ait aujourd'hui abandonné ce rôle pour se tourner vers quelque chose plus.. passif, comme le sommeil, je trouvai en elle un dessein d'une complexité rare. La superbe divinité, que Désirée jalousait d'ailleurs pour son aspect, rêvait secrètement d'avoir sa propre descendance. Elle aurait pu le façonner, mais j'aspirai à un évènement plus percutant! Je parvins donc à m'enquérir d'un prétendant digne d'elle; Aby-Dalzim. Son dessein était sensiblement différent de celui de Sinah, mais n'en demeurait pas moins compatible. Epris de la Déesse de la sagesse, le Dieu du temps sut parfaitement combler les attentes de son aimée. De leur union naquit une nouvelle divinité qui éveilla en moi le souvenir d'Iraclis. Le couple baptisa leur enfant; Gabriel. L'innocence ne pouvant avoir de dessein, je souris à sa venue. Si je voulais profiter d'un maximum d'intrigues sur le long terme, il était souhaitable d'avoir une digue à même de les préserver de ma tempête.
L'amour qu'Aby-Dalzim éprouvait pour Sinah devint si dévorant, que son influence se perdit dans les confins du désert de Sulmi. La Déesse de la sagesse en prit rapidement acte, et à force de paroles, elle convainquit son compagnon d'agir sur cette maladie temporelle qui sévissait sur Astrune. Il eut beau tout mettre en oeuvre, le mal ne cessait de croitre! Alors il prit la seule décision qui lui était encore permis de prendre. Face à Loominëi, il implora son bannissement éternel pour le royaume Abyssal. Aby-Dalzim obtint facilement gain de cause lorsqu'il expliqua à la Déesse du destin que tant qu'il se trouverait en présence de Sinah, il ne parviendrait à sauver Astrune de sa passion dévorante qui menaçait d'extinction tous les êtres qui l'habitaient. Voyant là une opportunité de combler un vide, Dörim s'empressa de faire la cour à Sinah, laquelle finit par le chasser définitivement en prenant l'aspect d'une antique rombière.
Peu de temps avant que je ne migre jusque dans les tréfonds du royaume Abyssal, je découvris le dessein patent de Loominëi, et fis ainsi surgir son obsession pour l'utopie. Finalement, elle n'était pas si différente de Damariel. L'ère utopique débutait lorsque je me rendis jusque dans le sanctuaire des Anges. De là, j'en interpelai un, et une fois suffisamment à l'écart des autres, je l'assassinai! Il aurait pu s'agir d'Hyleim, mais il était important de maintenir un certain équilibre entre les forces. Je lui préférai donc un serviteur dont tout le monde pouvait se passer, et par le biais de son essence bafouée, je pus m'ouvrir un portail me menant directement dans les Abysses.
Quatrième phase: La traversée des Limbes
~ Suppléments ~
~ Particularités propres à votre espèce :~ Ce que vous aimez :~ Ce que vous détestez :~ Vos peurs : "1 peur minimum"~ Arme(s) :~ Signe(s) particulier(s) : "Traces sur le corps ou quelque chose de peu commun, le petit truc qui vous rend unique"~ Points forts : "Dites le de manière textuelle 3 lignes pleines minimum à 6 lignes pleines maximum"~ Points faibles : "Idem que pour points forts (de façon textuelle)"
~ Mes secrets ~
~ Pouvoirs : "N'oubliez jamais, une invocation reste en place 2 minutes MAXIMUM, et surtout ne pas exagérer"~ Capacités spéciales : "Pour guerrier et sans classe uniquement"~ Talent secret : "Pour sans classe et Exclu uniquement"~ Capacité mystique : "Pour Exclu uniquement"
~ Utilitaires ~
~ Ma couleur utilisée : "Nom de VOTRE couleur, ou son numéro HTML"~ Code : "Se référer au règlement principal"
~ Origine, Désir ou Mystère ~
~ P.N.J : "Oui ou non sur le fait de débuter avec un P.N.J. Vous ne pouvez choisir le Narrateur si vous avez opté pour le P.N.J"~ Narrateur : "Même chose que pour le P.N.J, à la différence ; Le Narrateur sert surtout à l'insertion dans un RP en cours, ou bien à l'amorce d'un nouveau sujet/histoire"~ Le premier pas : "Qui de vous ou du Narrateur/P.N.J commencera ?"~ Origine : "Possible que si c'est le Narrateur/P.N.J qui débute. Vous décidez du scénario de votre lancement dans l'aventure. (5 lignes pleines minimum, 15 lignes pleines maximum)"~ Approbation d'Elfwyn : "Seul Elfwyn y répond"~ Désir : "Possible que si c'est le Narrateur/P.N.J qui débute. Vous faites part de ce que vous souhaitez pour le commencement de votre aventure, sans pour autant détailler ni exiger. (3 lignes pleines minimum, 7 lignes pleines maximum)"~ Approbation d'Elfwyn : "Seul Elfwyn y répond"~ Mystère : "Possible que si c'est le Narrateur/P.N.J qui débute. Vous ne convenez de rien, votre Destin repose donc entre les mains du P.N.J/Narrateur. Celui-ci respectera toutefois votre histoire"~ Note : Effacez ceux que vous ne choisissez pas, hormis les trois premiers : P.N.J, Narrateur, Le premier pas.
~ Votre niveau dans le rôle play ~
~ Test RP : "Merci de choisir parmi les 4 situations proposées ... (Duel/bataille, tendresse/amour, Gore/horreur, Humour/folie) 15 lignes pleines minimum à 30 lignes pleines maximum"
~ Une pensée personnelle à faire partager ? ~
~ Votre petit mot : Résumé de la fin de l'histoire :
J'arrive dans les abysses, encourage Lolth à me confier Istërius lorsque le revers de Loominëi survient. Durant un moment de faiblesse, je lui subtilise une part de son essence divine que j'absorbe sans trop savoir ce que cela me fait. Je trouve le moyen d'avoir la vue sur le monde, et suis avec attention le parcours de Rivaëna dont nul ne se préoccupe, et que tous pourtant pourrisse! Quand celle-ci attaque et que Abyssia abandonne son poste, je me rends dans les limbes, prépare ma venue sur Astrune en tant que Mallev, mais n'ayant point la maîtrise de ce réseau de transfert, je me perds dans les époques pour me retrouver en l'an - 9000 et des brouettes. Je finis par me faire vampiriser à l'aube de mes trente ans afin de traverser les âges jusqu'à ce moment où un jeune gamin devait se faire couronner. Le temps passant, j'assiste à la construction de Zanérim dont les fondateurs aurait trouver le moyen de contenir le mal d'Aby-Dalzim lorsque son amour pour Sinah lui fit perdre tout contrôle. De là, je pus absorber une part de son essence divine à lui aussi. Puis, bien plus tard encore, je fis la rencontre fortuite de Xiris, et pus ainsi boire une gorgée de son doux nectar. A partir de ce moment, je découvris toute l'ampleur de ma puissance. Et même si dans un premier temps me délecter des intrigues de la cour me satisferait, je savais que mon moi profond souhaitait ardemment tout autre chose, comme traquer les Dieux échoués sur Astrune par exemple.
Et voilà le brouillon de mes pouvoirs de sans-classe:
Talent secret : Le calice des dieux.
Qu'est-ce que la magie sinon la manifestation des Dieux? Leur énergie se diffuse en toute chose, et se matérialise sous bien des aspects. Le sang des êtres doués de magies comme les prêtres, les sorciers et les Dieux échoués sont parfaits pour m'abreuver de cet inestimable nectar.
(10 coupes de sang magique, le calice.)
Le dessein qui loge au bout de ce compte porte le doux nom de Calamité! Représentée par trois désastres entropiques, la calamité porte jusqu'à un kilomètre depuis son épicentre qui se trouve être moi, soit deux kilomètres de diamètre pour une superficie d'environ trois kilomètres carrés (rajoutez à ce disque 20 mètres d'épaisseur, 10 mètres au-dessus de moi, et 10 mètres en dessous). Une fois lancée, la calamité poursuivra son funeste dessein jusqu'à la fin des temps. En tant que telle, il n'est guère possible de contrer ce type de catastrophe que l'on pourrait apparenter à un cataclysme.
Rupture avec Xiris : La calamité affiliée à cette divinité fait immédiatement cessée toute vie et toute connexion en lien avec Xiris. Les plantes, les animaux, les éléments, la terre etc... Les réserves de grains pourriraient, les denrées faisanderaient, l'eau se corrompraient, en somme tout deviendrait impropre à la consommation. Au coeur de la terre du phénix, cette calamité engendrerait une famine pour des générations et générations. Ou encore les forêts luxuriantes comme Silmariën ou Lalwende, toute une biodiversité exterminée pour des siècles et des siècles.
Rupture avec Istërius : Une telle calamité annihilerait l'intelligence de tous les êtres vivants touchés, les laissant ainsi seuls avec leur instinct. Toute civilité s'envolerait, l'art, l'écriture, la parole, l'indépendance. Tout cela disparaitrait pour toujours. Une ville comme Nandis sombrerait à jamais si ses habitants n'étaient plus guère capables de dissocier le pavé d'une pomme de terre.
Rupture avec Aby-Dalzim : Voilà une affliction qui occupe une place de choix dans mon désir de la voir s'abattre. En bref, cette calamité rompt la temporalité qui régit votre ligne de vie. Frappé par celle-ci, votre corps se mettra à vieillir de dix ans par minute ! Comme pour les autres désastres, il n'y point de fin à cette tragédie. Imaginez alors Lalwende en proie à ce cataclysme, toute la longévité des elfes réduite à dix malheureuses petites heures.
Note : Prenez garde au camélia blanc taché de rouge, il porte en lui la prophétie de l'apocalypse.
Capacité spéciale : Le maillon faible
Je peux le sentir lorsque je me trouve en présence d'une divinité sous couverture de mortel. Bien que je ne puisse déterminer de quel domaine cet ancien Dieu est issu, par le biais du calice, je suis en mesure de concevoir une nouvelle calamité qui s'ajouterait alors aux trois autres. Etant donné l'ampleur de mes manigances en tant qu'Istën, je suis parfaitement au fait de cette possibilité de rencontre.
Voilà ce qu'aurait pu être la conclusion d'Elhen dans les trèèèèèès grandes lignes.
~ Statut ~
~ Refusée ~