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 Lanae Weirel

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MessageSujet: Lanae Weirel   Lanae Weirel Icon_minitime1Sam 6 Fév 2010 - 3:11

Nom : Weirel

Prénom : Lanae

Surnom : Lany

Âge : 200 ans

Sexe : Féminin

Race : Demi-elfe

Lieu de naissance : Aeldril, cité elfique aujourd’hui détruite, dans les forêts bordant les montagnes

Lieu où vous vous trouvez actuellement : Nandis

Classe : Sorcier élémentaliste du vent

Alignement : Chaotique bon

Description Physique :
Quand j’aperçois mon reflet dans l’eau d’une rivière ou dans un miroir, le moins que l’on puisse dire est que  je ressemble énormément à ma mère. Pour commencer, j’ai les mêmes oreilles, caractéristiques propres aux elfes ; mais ces derniers sont aussi connus pour avoir de très beaux cheveux, fins et soyeux. Les miens sont ondulés et tirent vers le roux, auburn même je dirais, surtout lorsque les rayons lumineux du Soleil s’y attardent et font par ailleurs scintiller mon kaelan. Le kaelan est un bijou qui se place derrière l’oreille et une couronne de perles précieuses vient entourer délicatement la tête de la personne qui le porte. Ce bijou elfique sacré propre à Aeldril, que ma mère portait lors des grandes cérémonies religieuses en l’honneur d’Erinae, orne maintenant ma chevelure. Mais cette dernière, qui est des plus longues habituellement, à dû être raccourcie pour des raisons pratiques. En effet, voyager avec une crinière de 3 mètres, aussi belle soit elle,  n’était pas des plus idéals pour moi. Cela dit, la longueur reste correcte puisqu’elle atteint encore aisément le bas de mes reins. Il y a également d’autres choses dont j’ai héritées de ma mère. Par exemple ses yeux en amande d’un vert bleu presque opalin qui se remarquent dès que l’on regarde mon visage plutôt fin. Leurs expressions me donnent un regard aussi limpide qu’une rivière et intense comme la profondeur des océans. Ma peau est également la même que la sienne, pâle et lisse ; sans aucun défaut.

Maintenant si on se penche sur ma corpulence, j’ai une taille assez svelte, avec d’assez jolies jambes et des mains formées d’une paume délicate et de longs doigts fins. J'ai 200 ans et l'apparence corporelle d'une jeune fille humaine d'une vingtaine d'années ; j'ai hérité de la longévité elfique.
En revanche, je mesure environ 1,70 ce qui est très standard si on me compare avec les elfes dont la moyenne est de 1,80m. Il faut dire que mon père, même si cela n’enlève rien à ses qualités de guerrier, comme cela n’enlève rien à mon agilité assez développée.

Que puis-je ajouter ? Je porte des vêtements humains que m’a gentiment offerts le vieux marchand que j’ai accompagné durant une année, avant que l’on ne se sépare. Mes habits se composent d’un haut bleu vert opalin qui rappelle la couleur de mes yeux, avec une dorure brodée soigneusement sur les bords. Je porte également une jupe assortie avec le haut, assez courte mais ample pour faciliter mes mouvements. Elle est rattachée à mon bassin par une ceinture tressée en lanières de cuir. Mes pieds sont chaussés de bottes elfiques que j’ai prises à Aeldril avant de partir. Je les avais soigneusement gardées en attendant que celles que j’avais avant ne s’usent.

Enfin, je possède un bâton azur et or avec en son bout un orbe de cristal bleue, et quelques pierres précieuses rouges. Je me le suis attribué grâce à mon premier salaire en tant qu’assistante du vieux marchand, dans un village elfique dont je ne me souviens plus le nom. Il m’est très précieux et me permet de matérialiser mes sorts. Lorsque je ne me sers pas de mon bâton, il est retenu dans mon dos par un cordon de lin foncé. Ce dernier se trouve à mon poignet en guise de bracelet sous forme de deux rosettes quand j'utilise mon bâton.

Description Psychologique :

Je suis quelqu’un de très émotive à la base, joyeuse et qui aime rire même si le massacre de mes proches me fait parfois souffrir en silence. La tristesse est peut-être le seul sentiment qui ne se manifeste pas chez moi. Si, lorsque cette blessure s’ouvre à nouveau et me cisaille le cœur, je me surprends alors à chanter et quelques fois en train de pleurer. Oui j’aime chanter les hymnes que mon peuple me chantait lorsque j’étais enfant. Je porte en moi le deuil  de ma famille, des Aeldriens, de mon père, et je nourris leurs mémoires. Et quelque part lorsque je chante, je les sens revivre en moi, un peu comme un hommage qui leur est dédié. Je n’ai pas de culte particulier, alors ces chants sont en quelques sortes ma façon de prier ceux qui quittent notre monde. Je suis en effet très empathique. C’est l’héritage que ma mère m’a appris et m’a laissé; l’altruisme, je crois en tout être vivant, bon ou mauvais. Et pour ne pas gâché ce bien, pour ne pas décliner la plénitude dans laquelle j’ai grandi, j’ai décidé d’aller de l’avant, de continuer à sourire à ce que peut m’offrir la vie.

Désormais je voyage et ma nature curieuse devient encore plus avide de découvrir des nouvelles terres. Je pense que ce goût de l’aventure et cette intrépidité me viennent de mon père. J'aime la hauteur, le vent, ce sentiment de liberté qui m’envahit lorsque je parcours le monde. Il y a un proverbe d’orient qui dit : « le monde est une mer, notre cœur en est le rivage » J’ai donc une vision de ce monde qui m’est bien particulière, principalement en ce qui concerne la notion de justice. Fréquentant des pirates, j’ai appris à ne plus être aussi pacifique qu’avant. Je cherche à comprendre lorsque quelque chose se produit. Puis je me fie à mes sentiments, à mon instinct mais  je n’hésite pas à agir en fonction de ce que me paraît être juste ou pas. Je suis quelqu’un de très patiente mais une fois que j’ai pris une décision je reviens rarement en arrière. Je m’attache assez facilement, et j’ai toujours un petit pincement au cœur lorsque je fais des rencontres et que je dois repartir. Je n’aime pas être seule, j’ai besoin d’être entourée malgré mon caractère plutôt indépendant et j’avoue que ceci me cause des petites contrariétés parfois. Cela dit je considère chaque rencontre comme un enrichissement personnel, j’aime apprendre au contact des autres alors je garde une fois de plus le sourire en me disant qu’il y a encore beaucoup à découvrir. Enfin, je suis et serai toujours fidèle aux êtres qui me sont chers et les défendrai corps et âme.

Biographie et Histoire :

*Par où commencer ? Qui suis-je ? Je crois que le terme général est demi-elfe.*

Chapitre 1-Les racines, un coin de bonheur


Au départ je me demandais bien si je me sentais plus humaine ou plus elfe…Mon père était un humain et un guerrier averti. Ma mère était la prêtresse d’Erinae, déesse des elfes, dans la cité elfique où je suis née, Aeldril.  En ce temps-là, les Aeldriliens avaient des alliances avec quelques communautés composées majoritairement d’humains. Ceci était courant à l’époque afin de préserver la paix ou conserver divers intérêts communs entre certains peuples. Lors d’un conflit  avec des Drows qui menaçaient Aeldril, un guerrier sauva la vie de la prêtresse alors qu’un Drow hérétique avait pénétré le temple de la cité et tenté de la tuer et de la violer par la même occasion. Malgré les morts, la plupart des habitants de la cité avaient survécu et il en était de même pour nos alliés. Par la suite, la prêtresse d’Erinae alla exprimer sa reconnaissance au valeureux guerrier qui lui avait évité une mort certaine.

Dans les années qui suivirent ce sauvetage, le destin les amena à se croiser quelques fois et ils finirent par se fréquenter. Les prêtresses ne faisant pas vœux de chasteté à leur engagement, elle tomba enceinte. Cet enfant, c’était moi, mi elfe-mi humains, une fille, Lanae Eeilrinyn Doranweirel. Comme Mon père était souvent en déplacement sur les champs de bataille, ma mère voulut me protéger de la violence des  conflits et des horreurs de la guerre. En conséquence, ce fut elle qui m’éleva et je grandis donc parmi les elfes. Je ne vis mon père que rarement… Il mourut sur le champ de bataille quelques années plus tard. Ma mère en fut très attristée, car même s’ils ne se voyaient pas souvent, pour ainsi dire jamais, il y avait entre eux une forme d’amour qui ne pouvait se décrire, mais dont je savais ma mère très fière. Et c’est cette image que je choisis de garder en mémoire. Ma mère respectait la bravoure et le courage de mon père mais elle éprouvait aussi pour lui une profonde gratitude pour lui avoir sauvé la vie et surtout pour lui avoir donné une fille, qui était l’une de ses grandes ambitions. Pour les Aeldrilens, un enfant était signe de prospérité pour l’année à venir et bien sur d’assurer la descendance de l’espèce. Ma mère aurait voulu que je suive sa voix en tant que prêtresse. En effet, elle estimait que j’avais hérité l’empathie des elfes et que j’avais les qualités et la capacité nécessaire pour reprendre le flambeau. Il est vrai que j’étais dotée d’un altruisme assez prononcé pour un demi-elfe et que je croyais en tout être vivant, en l’évolution du bien, mais j’étais également très espiègle et intrépide, à me mouvoir sans cesse et me balader partout où je pouvais aller. Ce trait de caractère plus primaire et moins propre aux elfes me venait sûrement des gênes de mon père, guerrier redoutable mais pas invincible, malheureusement… J’aurais aimé le connaître plus… Autre caractéristique chez moi, j’étais fascinée par la magie, je voyais des sorciers hybrides de passage dans notre village pour affaire et certains s’arrêtaient au temple pour demander la bénédiction et la protection d’Erinae avant de reprendre leur route, et je leur posais des milliers de questions sur leur art mais aussi sur le monde extérieur.

A la mort de mon père, je continuai à vivre paisiblement dans la cité parmi les elfes. Etant un demi-elfe, mes sens n’étaient pas aussi aiguisés que ceux issus de la race pure mais je bénéficiais de leur longévité vitale, et étais tout de même bien intégrée dans la communauté, les elfes étant des êtres très empathiques par nature.

Chapitre 2-Quand la plénitude s’achève


Cette enfance tranquille s’arrêta il n’y a pas si longtemps que ça, lorsque des Drows revinrent nous attaquer. Cette fois mon peuple ne put en réchapper vivant. En général nous restions chez nous, nous n’avions pas l’habitude de sortir de la cité, nous vivions en communauté restreinte même si nous avions des alliances avec d’autres races pour le commerce etc.

Ce jour-là j’étais dans les hauteurs de la plaine, ma mère n’aimait pas que je m’éloigne du village mais m’y autorisait car elle savait que j’étais toujours au même endroit, dans les grands arbres qui entouraient la cité. J’aimais être en hauteur et sentir le vent dans mes cheveux, profiter de cet air pur qui caressait et rafraîchissait la moindre parcelle de peau. Je fus impuissante n'aperçus que des fumées au loin. Inquiète je descendis de mon pin à la hâte et me mis à courir aussi vite que possible en direction de ces étranges nuages qui devenaient presque noir.

Lorsque j’arrivai, tout était déjà fini... La cité avaient été mise à feu et à sang...un vrai massacre. L’attaque avait été rapide et efficace, tout n’était plus que poussière et cendres. J’avais le cœur serré, je ne savais que dire, que faire devant cette scène aussi macabre que désolante. J’essayais de ne pas regarder les corps sanglant et encore tièdes. J’arpentais désespérément les rues à la recherche de survivants, je n’en trouvais aucun. En revanche, je finis par découvrir ma mère, inerte et baignant dans une marre de sang aux pieds du temple. Je fus si horrifiée que je n’osai l’approcher d’avantage… La seule vue de son corps suffisait à imaginer les atrocités que ces barbares avaient pu lui faire : elle était étendue, là, sur ces marches de pierre aussi blanches que la neige mais souillées par des tâches sombres, résultat de ce crime abominable, celui d’avoir fait couler le sang noble d’une prêtresse et d’avoir mutilé son corps. Je n’avais plus de chez moi et nulle part où aller. Ma seule chance était de partir au loin en espérant trouver des survivants, s’il y en avait… Je crois que mon cœur était tellement meurtri face à ce paysage qui était devenue la propriété de la mort en personne qu’au fond je voulais juste quitter cet endroit. Je voulais non pas oublier ma cité, mais je préférais ne pas anéantir l’image que j’avais de celle-ci qui était déjà bien ternie par les récents évènements.

Pourquoi étaient-ils restés si peu de temps tuant hommes, femmes et enfants ? Pourquoi nous avaient-ils attaqués tout court ? Ils devaient être très organisés et avaient dû préparer leur attaque depuis des mois voir des années dans l’ombre pour ne pas éveiller les soupçons sur le moment où ils passeraient à l’acte. Des années auparavant ils s’en étaient déjà pris à nous, à ma mère, logique puisque la plupart étaient des hérétiques, mais ce n’était pas la seule raison…Sans doute de la haine pure et simple. Peu m’importait maintenant car même si je ne comprenais pas cette haine gratuite le mal était fait, plus rien ne me retenait ici il fallait que je parte. Oui mais partir où ? Pour quoi faire ? Rechercher d’éventuels survivants ? Venger ma cité ? Moi toute seule ? Je n’en savais rien mais je devais partir. De plus je ne me sentais plus en sécurité. En effet, mon ouïe était moins développée que mes confrères de par mon statut demi-elfe. En conséquence mes oreilles étaient moins aptes à prévenir un quelconque danger s'il en arrivait un. Je devais donc faire vite.

Cependant il me restait deux ou trois choses à régler avant. D'abords je ne pouvais pas laisser ma mère comme ça. Même si je n'étais pas en mesure de déplacer son corps sans le tirer de par ma carrure faible,  et de peur de l'abîmer encore plus, je lui rendis hommage à ma façon. Elle se trouvait aux pieds du temple où elle avait toujours vécu et qu'elle avait toujours vénéré. L'ironie du sort avait donc fait de ce lieu un tombeau idéal pour une âme pure comme la sienne. Quasiment tout avait été détruit excepté certains bâtiments dont le temple. Ce grand édifice était bâti d’une pierre d’un blanc pur qui m’était inconnue mais que je savais solide. Je pénétrai donc le temple et fis une brève mais humble prière à Erinae pour tous ceux qui avaient trouvé la mort dans ce massacre. Puis je me dirigeai vers l’autel central qui lui par contre avait était détruit. Je saisis le grands draps blanc et fin qui recouvrait ce dernier et qui maintenant jonchait le sol sous les débris de pierre. Je m'en servis pour l'étendre sur le corps de ma défunte mère et y déposer une fleur de Lys qui se trouvait également dans le monument sacré. Puis je retournai dans le temple me mis à compter un nombre de dalles sur le sol et finis par trouver ce que je cherchais. Je déplaçai une dalle légèrement désaxée par rapport aux autres, ce qui permettait d’y glisser une lame de couteau et de la dégager. Ainsi je pus saisir l’objet qui se trouvait dans un trou creusé à même le sol sous ce carré de pierre. Cet objet, enveloppé dans un morceau de soie, était ce que l’on appelle un Kaelan, c’était un bijou elfique sacré propre à Aeldril que portait la prêtresse lors des grandes cérémonies religieuses en l’honneur d’Erinae. Ce bijou se plaçait derrière l’oreille et une couronne de perles précieuses ornait la tête de la personne qui la portait. C’était un objet de grande valeur que les Drows n’avaient pas trouvé. Il appartenait à ma mère et je décidai de l’emporter avec moi comme souvenir de mes racines et preuve de mon identité en tant qu’Aeldrilienne. Puis je sortis et ramassai à la hâtes quelques maigres provisions laissées dans les rues avec quelques vêtements et outils ainsi qu’une couverture pour la route. Je mis tout ceci dans une grande toile de lin, trouvée dans l’une des rues de la cité, que je nouai sur mon épaule, puis me mis en route.

Chapitre 3-Le temps du voyage

J’errai ainsi pendant plusieurs semaines. Boire ne fut pas difficile car ma région était bordée par de nombreux ruisseaux et rivières dans lesquelles je pouvais m’abreuver. Et mon aisance à grimper dans les arbres ainsi que mon enseignement assidu sur les secrets de la forêt compensaient la médiocrité de mes sens. Seulement j’avais épuisé mon stock de nourriture au bout de quelques jours et je dus continuer ma route en me nourrissant de tout ce que je pouvais trouver et ce que m’offrait mère nature.

Un jour, sur le chemin je rencontrai un vieux marchand ambulant qui était sorcier et qui avait l’habitude de s’arrêter dans cité à une époque. Il me reconnut car il n’y avait pas beaucoup de demi-elfes dans la cité et j’étais la fille de la prêtresse, donc on me connaissait bien, d’autant plus que ma mère était très respectée. Après lui avoir raconté le désastre qui avait détruit Aeldril, le marchand me pris avec lui, je devins son assistante et voyagea avec lui.
Au cours de notre périple, il m’apprit les bases du commerce ainsi que celles de la magie. Je progressais rapidement et me rendis vite compte que le vent était un élément prédominant chez moi. Ce fut au cours de cet apprentissage que j’obtins mon bâton magique. Un bâton azur et or avec en son bout une orbe de cristal bleue, et quelques pierres précieuses rouges. Je me l’étais attribué grâce à mon premier salaire  dans un village elfique dont je ne me souvenais plus le nom. Il m’était très précieux et permettait de matérialiser les sorts que j’apprenais. Je tirais la source de mon pouvoir au plus profond de mon âme, en ressentant les éléments naturels autour de moi.
Après un an d’errance sur les routes, le marchand me dit qu’il était temps pour lui de prendre sa retraite et que notre voyage était sur le point de s’achever. De plus, j’avais, selon lui, appris tout ce que je pouvais apprendre de lui ; je devais maintenant vivre mes propres expériences. Mais pour ne pas me laisser dans le besoin, il écrivit une lettre de recommandation en tant que sorcière auprès de l’une de ses connaissances ou ami d’enfance, ma foi je n’en savais trop rien, juste son nom, un certain capitaine Harill qui lui devait, selon lui, une dette.

Chapitre 4-Un nouveau départ


Je mis quelques semaines à trouver le port où était amarré provisoirement le bateau de cet homme. Par logique je m’attendais à un bateau marchand. Mais au lieu de ça, je me retrouvai en présence de pirates. Sur le coup tout ceci m’effraya mais il fallait que je voie ce fameux capitaine. Je rencontrai donc cet homme, tentai de lui expliquer mon histoire mais il semblait déjà être au courant de la situation. Je m’attendais à ce qu’il me renvois illico presto sur le quai, mais il me fit signe en maugréant de prendre mes affaires et de monter. Je ne sais ce que contenait cette lettre, mais à ce moment là mon cœur remercia mille fois ce vieux marchand, car je n’avais de nouveau nulle part où aller. Mais ce n’était pas la seule raison pour laquelle il m’avait acceptée à son bord. Il recherchait un équipage fiable et comme je n’avais aucune attache à terre, il n’y avait donc pas de risque pour que je le trahisse ou l’abandonne au bout de quelques jours. De plus j’avais l’habitude de voyager maintenant, c’était pourquoi les longs trajets et l’inconnu ne m’effrayaient pas. Il fallait bien que je découvre le monde un jour alors pirate ou autre chose, j’étais une gentille fille mais après tout un travail restait un travail. J’avais vécu une enfance paisible avec ma mère, entourée par ma chère forêt et profité de la plénitude que pouvait offrir un royaume elfique, il était temps pour moi de suivre ma propre voix en extériorisant d’avantage les gênes de mon père.
Le capitaine était un homme assez bourru, mais au fur et à mesure je finis justement par trouver en lui un père. Et ce père avait une femme et une fille, Belle. Autant qu’avec sa femme je ne m’entendais pas plus que ça car trop capricieuse et autoritaire, autant que leur fille je l’appréciais. J’avais remarqué le côté assez protecteur de ses parents envers elle et Belle restait plutôt effacée, n’osant peut-être pas se rebeller, mais elle n’avait pas un mauvais fond et je me disais qu’elle finirait par s’extérioriser et se faire entendre un jour. Je préférais ne pas me mêler de leur vie intime, après tout ils étaient ma nouvelle famille tout comme le reste de l’équipage d’ailleurs.

Ce fut donc sur ce bateau que je commençai ma nouvelle vie. Je me sentais légère, très aspirante à découvrir de nouvelles terres ainsi que des nouvelles personnes afin de satisfaire cette curiosité pour le monde extérieur si jalousement enfouie depuis ma tendre enfance. Désormais je n’étais plus Lanae Eilrinyn Doranweirel, à tenter de savoir si j’étais plus elfe ou humaine, mais juste Lanae, mage du vent à bord d’un bateau pirate.

Particularités propres à votre espèce : Une grande agilité due à mon amour pour les hauteurs et à grimper dans les arbres depuis mon enfance, une ouïe très peu développée contrairement aux elfes avec qui j’ai grandi. En revanche j’ai une excellente vision même si cette dernière est dépourvue d’infra-vision et enfin un odorat normal. Une empathie élevée car j’ai vécu mes jeunes années dans la plénitude entourée d’elfes pacifiques et d’une mère plus qu’altruiste. Enfin, j’ai la longévité des elfes. Enfin, je suis légèrement plus fragile que les humains, notamment pour les blessures physiques sauf mes bras.

Ce qu'il ou elle aime :
Le monde, les choses nouvelles, les êtres vivants, chanter, la hauteur, le vent, le froid, la neige, la nuit.

Ce qu'il ou elle déteste : Il n' y a pas grand chose que je n'aime pas étant donné mon amour de la Nature et des êtres vivants, j'éprouve cela dit une certaine rancoeur envers les Drows qui ont tué mes proches.

Ses Peurs : De vivre aussi longtemps que les elfes alors que ceux que je connais connaît vont probablement mourir avant moi. Je ne veux plus voir quelqu'un que j'aime mourir et pourtant... je sais que ça se reproduira... J'ai également peur du feu.

Arme(s) : un bâton elfique qui permet de matérialiser les sorts. Un poignard de ma ville natale.

Signe(s) particulier(s) : Un bijou placé derrière l’oreille, héritage familial et preuve de Mon appartenance à la communauté elfique d’Aelril.

Points forts : Le combat à distance est un de mes gros points forts étant donné que je suis élémentaliste du vent. Je lance des sorts et vise assez bien car je n'ai pas une mauvaise vue. Ceci se révèle également par mon art du lancé de poignards.

Points faibles : Avec mon bâton je peux me défendre en cas d'attaque. Cela dit le corps à corps dans les combats reste un point faible chez moi et je risque d'être rapidement à la merci de mon ennemi si je me trouve seule. C'est pour cela que j'essaye souvent de garder une certaine distance avec mes ennemis.

Pouvoirs : Sorts-
1) Poussée de vent : Sort basique de Lanae, la poussée de vent n’est pas, à la base, un sort d’attaque à proprement parler. Le principe de base de ce sortilège est un projectile de vent, destiné à pousser un adversaire sans le blesser. La puissance de la poussée dépend de l’énergie dépensée par Lanae. Une utilisation plus belliqueuse de ce sort est de propulser l’adversaire contre des objets, une surface…ce qui occasionne évidemment des dommages plus ou moins importants. Cependant, cette variante dépense plus d’énergie qu’un simple repoussoir.

2) Déviance :
Premier sort défensif de l’arsenal magique de Lanae. Déviance est un sort destiné à contrer des attaques magiques. Le sort visé est alors dévié vers une autre cible. Cependant, les sorts de zone ne seront pas affectés par la déviance, étant donné que la zone d’effet est importante. En outre, pour chaque sort dévié, Lanae a une chance d’attraper une migraine atroce, l’empêchant de se concentrer, et affectant par là-même sa puissance magique.

3) Mur de vent :
Deuxième sort défensif de Lanae, ce dernier s’applique aux attaques physiques. Le maximum d’efficacité est atteint face aux attaques à distance ; les projectiles tels que les flèches et les carreaux d’arbalète étant systématiquement déviés. Cependant, les attaques au corps à corps rendent immédiatement les murs de vent inopérant, Lanae voulant plus se protéger des coups plutôt que garder sa concentration. Les sorts ne sont pas affectés.

4) Cisaillement : Le principe de base est simple : deux « lames » de vent, se précipitant sur l’ennemi de Lanae de deux directions différentes. Le but est ainsi non pas de découper l’adversaire, mais de le démembrer en effectuant deux poussées de forces à peu près équivalentes dans deux directions. Evidemment, la dépense d’énergie est directement proportionnelle à la puissance physique de la cible, et Lanae est vulnérable le temps que le sort agisse.

5) Tourbillon :
Deuxième sort d’attaque de Lanae. Plus dévastateur mais également moins précis que cisaille, il s’étend sur un rayon de 10 mètres. Il produit un tourbillon d’air dans la zone, et propulse violemment ce qui se trouvait à l’intérieur. Le principal problème de ce sort est qu’il ne reconnait ni amis ni ennemis. Même Lanae, si elle se trouve dans la zone, se fait propulser. En outre, la puissance de ce sort fait qu’il dépense énormément d’énergie.

6) Lévitation : Un sort assez neutre pour compléter l’arsenal magique de Lanae. Le sort de lévitation crée simplement un tourbillon statique de vent sous la sorcière, ce qui lui permet de flotter à 5 mètres du sol, tant que sa Concentration sera suffisante pour maintenir le sort actif. Cependant, la durée maximale de ce sort est de 2 minutes, après cela le tourbillon se dissipera de lui-même.

Je suis vulnérable aux attaques par la terre mais insensible aux rafales et autres bourrasques ou tempêtes (cela ne comprend pas les débris mais le vent ne m'emportera pas contre ma volonté).

Ma couleur utilisée : slategray 708090

Lien de votre inventaire : https://www.lauthentique-destiny.net/inventaires-f50/inventaire-de-lanae-t318.htm#10132

Code : Approuvé par Elfwyn !

Narrateur/P.N.J : Oui (P.N.J).

Statut :Terminé !

=>Avatar en création, je le mettrai dès que je l'aurai fini. En attendant j'en mets un temporaire qui correspond à peu près.
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MessageSujet: Re: Lanae Weirel   Lanae Weirel Icon_minitime1Mar 9 Fév 2010 - 2:13

Bonsoir Lanae,

Vraiment une superbe présentation, tu as tout respecté, et tu ne fais quasiment aucune faute, tu RP très bien à la première personne, félicitation, de plus le raccordement de ton histoire par rapport au PNJ de Laraan est très bien ficelée, seul petit bémol, j'ai trouvé ça étrange que la gentille Lanae laisse sa mère pourrir sur le pavé en s'en allant plutôt que de lui offrir un enterrement décent ... J'ai trouvé cela bizarre ^^

Mais ce n'est qu'un détail pour t'ennuyer un peu xD, autre chose, les points forts et faibles, je demande des descriptions textuelles, alors si tu pouvais juste arranger cela, ainsi que mettre le lien de ton inventaire dans ta signature, ça serait parfait pour ta validation.

Je met une note de 8,75/10 à ta présentation, se sont ces petits oublis qui font que ...

En tout cas félicitation j'ai beaucoup aimé ^^

L'Elfy de service.
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MessageSujet: Re: Lanae Weirel   Lanae Weirel Icon_minitime1Mar 9 Fév 2010 - 22:00

Voilà, j'ai fait des modifications : je me suis occupée de ma mamounette, j'ai mis sous forme textuelle mes points forts et mes points faibles, j'espère que ça ira.


Voili Voilou. Merci d'avoir lu et pour les conseils. ^^
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MessageSujet: Re: Lanae Weirel   Lanae Weirel Icon_minitime1Mar 9 Fév 2010 - 23:00

Et bien voila Lanae, tu es validée et je suis fier de t'accueillir sur ce forum ^^

Je te souhaite le plus d'amusements possibles et inimaginables parmi nous, tu n'as plus qu'à aller signer le pacte pour clôturer tout ça, et pour ce qui est du lien dans ta signature, je m'en suis occupé ^^

Bienvenue sur les Sept Destinées Lanae !
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MessageSujet: Re: Lanae Weirel   Lanae Weirel Icon_minitime1

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Lanae Weirel

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