InvitéInvité | Sujet: Lilya Ombreplume Dim 11 Avr - 9:30 | |
| Lilya Ombreplume
~Prénom :Lilya ~Nom : Ombreplume ~Surnom : Lilli ~Âge :17 ans ~Sexe :Féminin ~Race :Vampire ~Lieu de naissance :Nandis ~Lieu où vous vous trouvez actuellement : Nandis ~Classe :Sans classe ~Alignement :Bon ~Description Physique : Lilya présente une silhouette fine et gracieuse, toute en courbe délicates et harmonieuse qui lui confèrent une beauté éthérée,presque trop fragile. Sa peau de nacre, presque translucide ,est douce et légère au toucher comme un pétale de Lys. Dans son visage d'ange innocent, deux grands lac d'ébène semblent receler tout les rêves d'une jeune fille au seuil de l'amour. Sa longue chevelure d'un bleu céruléen hors du commun est retenue par des rubans de soies blanche et parsemée de fleurs à peine écloses. A sa main droite, une bague d'or blanc et de saphir, et à ses oreilles délicatement ourlées, des fleurs qui sont réalisés avec la même finesse que la bague à son annulaire. Sur elle, des robes de soies brodées, qui sont le parfait écrin de ce cristal si précieux. Lilya si pâle, si fine, si fragile qu'elle fait songer à une peinture de fée ou de nymphe, la tenir de trop prés c'est déjà la marquer, il en faudrait bien peu qu'elle ne se brise sous une étreinte trop forte ~Description Psychologique : Lilya est une jeune fille bien élevée et pleine de gentillesse. Elle se montre toujours aimable et attentive et s'efforce de causer le moins de peine possible. Elle fait toujours passer les sentiments des autres avant les siens et jamais elle ne blesserait quelqu'un volontairement. Elle aime voir les gens heureux autour d'elle. Sûrement trop crédule et bien naïve elle croît en la bonté et en l'honnêteté naturel de chacun . Le mal est un concept dont elle reconnaît l'existence mais qui ne lui semble pas faire partie de son monde, un peu comme une vérité qu'elle aurait reléguée sur le côté, dans un petit coin de son esprit. Son univers a elle est une petite chose (oui une très petite chose même) pleine de douceur et de rêves impossibles. Elle peut paraître parfaitement calme quand il le faut mais en fait elle se laisse souvent guidée par ses émotions. Sensible, elle écoute tout ce qu'il se dit autour d'elle, elle absorbe tout avec une attention et une soif d'apprendre, une curiosité insatiable. Elle s'imagine le monde à partir des livres et de l'idée qu'elle s'en fait. Elle aspire a pouvoir enfin découvrir ce qui l'entoure, elle voudrait vivre librement, affranchie de tout, mais elle se contient car ce qui compte le plus pour elle c'est l'amour de son père. ~Biographie et Histoire : Posé sur une table de chevet marquetée d'une corolle de roses, un carnet à la couverture patinée et ou s'étale d'une écriture ronde le récit d'une jeune vie. Un homme dans la force de l'âge, au visage volontaire et aux regard mort s'assied sur un fauteuil a large dossier et tend une main frémissante vers l'ouvrage abandonné. La solitude l'entoure aussi sûrement que les draperies de soies qui recouvrent la pièce éclairée par un candélabre aux lueurs mourantes. L'homme reste longtemps sans rien faire qu'écouter le désespoir qui résonnent en lui, puis d'un mouvement brusque il ouvre le carnet et commence à lire. *Le 3 du mois de Nero, dans ma 5 éme années*
Aujourd'hui père m'a rapporté un cadeau. Il m'a offert ce carnet et il m'a dit que je pourrais y écrire tout ce que je voulais, confier mes secrets, mes rêves. Je lui ait répondus qu'il n'y aurait jamais assez de place pour tout les rêves que j'ai et il a rit. Père ne rit pas souvent alors j'était très heureuse et je l'ai embrassé très fort en le remerciant. Mère souriait en disant que comme sa je serait peut-être plus assidue dans mes leçons d'écriture avec Mr. Talgyer. Mr.Talgyer n'est pas très drôle, il me fait écrire des ligne de lettres qui se répètent mais ne veulent rien dire. Il trouve que je ne fais pas mes boucles avec assez d'attention et que je regarde trop par la fenêtre. Mais par la fenêtre je peut voir la petite fontaine dans le jardin avec ses anges qui font jaillir de l'eau par leur mains tendus. Et il y a les oiseaux aux plumes colorés qui viennent s'ébattre dedans. J'ai entendus nanny dire a la cuisinière qu'ils devaient avoir fait leur nid dans un arbre du jardin. Je voudrait tellement aller le voir. Mais je n'ai pas le droit de sortir dans le jardin, sauf quand père m'y emmène dans ses bras. C'est parce que je suis malade et que le docteur dit que je ne dois pas me fatiguée. Le docteur il est très gentil, il vient me voir tout les mois et il m'apporte des bonbons. Sauf qu'après chacune de ses visites père et mère sont toujours triste, parce que le docteur il ne peut pas me soigner, c'est nanny qui me l'a expliqué...
*Le 8 du mois d'Anemos, dans ma 7 éme années*
Cela fait déjà deux mois. C'est parce que mère m'a aidée a convaincre père, lui il voudrait que je passe mon temps à me reposer, et il n'était pas d'accord au début pour me laissée suivre des cours de musiques. Il disait que j'allais m'épuiser, que j'était trop fragile et qu'il m'aimait trop. Mais moi je voulais tant, et maintenant je suis heureuse car c'est merveilleux. Un jour je jouerait si bien que les oiseaux de notre jardin chanterons avec moi. Mr. Julius dit que je débute très bien, moi je trouve que ce n'est pas grand chose car quand je l'écoute jouer c'est tellement beau que je sais que je n'y arriverais jamais aussi bien. Je m'applique pourtant, bien plus que pour mes autres leçons qui ne sont pas aussi merveilleuse. Nanny trouve que j'ai une voie de petit rossignol quand je chante pour accompagner Mr. Julius, mais nanny trouve aussi que mes travaux de coutures sont très jolies. J'ai essayée, une fois, de me faire une robe comme celles que font la couturière avec les tissus que ramène père, mère n'a pas pu s'empêcher de rire quand elle m'a vue dedans, elle a dit que j'était comme une petite princesse des champs. Moi j'était partie avec l'idée de faire une robe comme celle qu'elle portait, et père ne dis jamais a mère qu'elle ressemble a une « princesse des champs ». Mais c'était bien que mère se fut amusée de me voir ainsi; en ce moment elle est souvent triste, je me souviens lui avoir demandée si j'aurais une petite sœur ou un petit frère un jour, et qu'elle était partie en pleurant. J'ai entendue nanny en parler à son frère qui vient parfois la voir, je m'était cachée derrière le paravent et elle ne savait pas que j'étais la. Elle disait que madame (c'est comme sa qu'elle appelle mère) était désespérée de ne pas réussir a enfanter à nouveau, alors qu'elle n'avait put donner a son époux qu'une enfant malade et condamnée a ne pas dépasser, au mieux, les vingt ans. C'est comme sa que j'ai su que c 'était de ma faute si mère était triste et que je crois aussi que c'est encore moi qui suit la cause de ce regard malheureux qu'arbore si souvent père quand il rentre à la maison...
*Le 14 du mois de Gaïa, dans ma dixième années*
Mére est allée rejoindre les anges du ciel, nanny et la couturière aussi, mais pas moi. L'épidémie qui à sévit dans toute la ville a pris ma mère et ma nanny et elle ne m'a laissée que mon père dont les sanglots résonnent dans notre maison silencieuse. Et moi je lève sans cesse le regard vers le ciel ne parvenant pas a croire que mère s'en est allée si loin et qu'elle m'a laissée ici. J'ai eut beau pleurer et la supplier de ne pas mourir, elle n'a pas put gagner contre le mal. Et moi je m'attend toujours à la voir pousser la porte de ma chambre, venir s'asseoir a côté de moi et me demander de jouer un morceau de musique pour elle. Partout dans la maison il y a des traces d'elle, comme si elle s'était juste absentée un instant chez une amie et qu'elle allait revenir. Les murs de ma chambre portent toujours cette soie céruléenne qu'elle avait fait installer, le siège ou elle s 'asseyais n'a pas changée de place et dehors il y a toujours les rosiers qu'elle aimait tant. Sauf que tout est vide maintenant, ses mains ne me caresses plus, ses pas ne se font plus entendre et son sourire mélancolique n'est plus qu'un souvenir. J'ai mal...si mal, j'aurais voulut que ce soit moi que l'épidémie emporte. Mais maintenant je ne peut pas laisser père tout seul, il faut que je sois la pour lui puisque mère ne le peut plus. J'espère que si elle me regarde de la ou elle est , elle sourit enfin, qu'elle n'est plus triste. Je n'abandonnerais pas mon père, je suis tout ce qui lui reste...
*Le 9 du mois de Pyros, dans ma quinzième années*
Père semble aller mieux ces temps-ci, il a recommencé à parler à ses amis et à les inviter à la maison. Cela fait longtemps, longtemps que mère est partie. Ma maladie semble avoir arrêtée de progresser pour le moment et je crois que c'est ce qui donne le courage a père de se reprendre. Il vient me voir tout les soir, et tout les soir je joue sur ma lyre et je chante pour lui. Il a l'air plus calme, plus apaisé quand il m'écoute jouer, alors je ne m'arrête que lorsque je suis trop fatiguée pour continuer. Pour lui faire plaisir je dors beaucoup dans la journée, parfois je dîne avec lui et ses amis, plus rarement avec des clients, et il me demande de jouer pour eux. Il dit que j'ai beaucoup de succès, que tout ses amis sont fous de moi et que mon charme agit sur ses clients comme un baiser de printemps. Mais père était déjà le plus prospère des marchands de Nandis avant que je ne me mette a jouer pour ses clients. En ce moment je me suis mise à l'étude des chants elfiques, leur langue est étrange, rien qu'en la parlant j'ai l'impression de chanter tant les mots glissent harmonieusement les uns dans les autres. Cela fait partie de ces rêves que j'ai et qui ne se réaliseront jamais: voir un elfe, lui parler. Je ne peut pas le dire à père qui a déjà suffisamment de peine mais il y a tellement de choses que je regrette de ne pas pouvoir faire . Je voudrais rencontrer des elfes, des fées, des sirènes ; même si le peuple de la mer est dit cruelle, moi je pense que c'est la malédiction de ne pouvoir jamais s'éloigner de la mer qui pèsent sur elles qui les a rendues comme cela. J'envoie des prière a Loomineï pour que dans sa sagesse et sa compassion elle leur accorde la liberté. Je peux comprendre cette envie d'être libre, je m'efforce chaque jour de la contenir en moi. Jusqu'à la fin je resterais auprès de père, et après , je rejoindrais peut-être mère et nanny dans les cieux...
*Le 2 du mois de Vita, dans ma dix-septième années*
Le docteur a dit que je ne vivrais pas pour voir le mois de Nero. Ce n'est pas vraiment une surprise, cela fait plusieurs semaines que mon état s'aggrave, j'ai essayé de le cacher à père mais il a finis par se douter de quelque chose et par faire quérir le docteur. Maintenant il s'est enfermé dans son bureau et moi je n'ai même pas la force de quitter ma couche pour le consoler. C'est arrivé un peu plus tôt que ne l'espérait le docteur, mais qu'importe au fond, au moins une fois que je serait partie père pourra commencé a accepter et a guérir. Comme pour mère il le surmontera, et il cessera d'espérer un miracle qui n'arrivera jamais. Il pourras se reconstruire une vie, cesser de demeurer attaché au passé, c'est tout ce que je lui souhaite. Et pour moi? Ah pour moi je ne souhaite qu'avoir la grâce de ne pas trop souffrir, aussi puéril que cela puisse paraître. Et il y a cette dernière chose que je veux faire, personne ne le sait, c'est mon unique secret: j'ai rencontré un ange de la nuit. Je dis que c'est un ange, car cela ne peut rien être d'autre, sa beauté si pâle est incroyable comme doit l'être celle d'un ange, et il sait voler. Il est venu me voir une nuit ou je ne jouait que pour les étoiles, il a volé jusqu'au balcon, s'est assis très simplement et il m'a écoutée jouer pour les astres de la nuit. Je n'ai rien dit et il ne m'a rien dit non plus, mais la nuit suivante il est revenu, et encore et encore il vient poser son regard brillant sur moi, son regard envoûtant qui semble m'attirer vers lui, m'engloutir dans le sombre mystère qui l'entoure. Je n'ai jamais ressentit cela auparavant. Cette nuit je vais le rejoindre sur le balcon et je lui demanderais la faveur d'un baiser. Au moins une fois je voudrais être embrassée comme on embrasse une femme, et je voudrais que ce soit lui, mon ange de la nuit, qui le fasse. Et s'il ne veut pas? ah s'il ne veut pas je lui dirais de ne plus venir me tourmenter alors, je lui dirais que je cesserais de venir jouer la nuit à la seule lumière des étoiles...L'homme éploré referme le petit carnet qui se termine sur ces mots, les dernières pensées de sa fille bien-aimée. Ses épaules se soulèvent en silence, quelque chose se brise en lui, une digue se romps et les larmes amères du désespoir se rependent en une coulée de chagrin et de douleur. Jusqu'a ce que les flammes des bougies agonisent enfin, plongeant la pièce dans les ténèbres...et le silence.. ~Particularités propres à votre espèce :Force surhumaine , vision nocturne , insensible au froid , invisible à l'infravision , métamorphose (louve), lévitation, télépathie entre vampire uniquement. Pas d'exposition au soleil sans l'aide d'une cape noir intégrale , très vulnérable au feu, la métamorphose ne fonctionne que dans l'obscurité, ne supporte pas les attaques saintes (eau bénite). ~Ce qu'il ou elle aime :jouer de la musique, la douceur de la nuit, ses parents, le chocolat ~Ce qu'il ou elle déteste :ne pas pouvoir jouer aussi souvent qu'elle le désire, faire de la peine à ses parents, les araignées ~Ses Peurs : Lilya a une peur panique des hauteurs ~Arme(s) :aucune ~Signe(s) particulier(s) :une petite tâche de naissance en fore de rose au bas de son dos. ~Points forts : son sens de l'observation, sa gentillesse, son honnêteté ~Points faibles : sa crédulité, sa méconnaissance du monde extérieur,son corps fragile qui malgrès sa récente transformation est parfois pris de faiblesse ~Capacités spéciales : Chant de l'ange: lorsqu'elle chante pour accompagner la musique qu'elle joue sa voie possède une beauté qui touche l'âme, apaise les tourments et inscite à la compassion et à l'amour ~Talent secret : Partage: uniquement possible avec un contact direct, Lilya peut alors créer un lien entre son esprit et celui qu'elle touche et qui permet un partage des sensations et des émotions, toutefois utilisé trop longtemps le partage sape ses forces, elle ne peut l'utiliser plus d'une dizaine de minutes sans devoir se reposer avant le prochain usage. ~Ma couleur utilisée :blue ~Lien de votre inventaire :http://lauthentique.meilleurforum.com/inventaires-f50/lilya-ombreplume-t471.htm#19105 ~Code : Approuvé par Elfwyn !~Narrateur/P.N.J :si un narrateur pouvait m'introduire dans un rp nocturne peut-être? ~Statut :Terminée |
|
Elfwyn | Sujet: Re: Lilya Ombreplume Ven 16 Avr - 14:51 | |
| Bonjour Lilya,
Désolé du retard ... J'ai enfin pu prendre le temps de lire ta présentation en toute quiétude. Et je ne peux dire que félicitation, vraiment une très belle histoire via un journal intime, c'est une grande première, et magnifique ! Cependant, je ne suis pas sûr de comprendre ton talent secret, pourrais tu m'en dire un peu plus à ce sujet, de façon à ne pas faire d'erreur, merci.
Sinon tout le reste me convient, donne moi cette précision et je te valide ^^
L'Elfy de service. |
|
Elfwyn | Sujet: Re: Lilya Ombreplume Ven 16 Avr - 16:51 | |
| Super merci, j'ai toutes mes idées pour ton lancement, ça devrait te plaire, mais je te laisse le soin de poster la première, où tu veux à Nandis, mais je te demanderais juste une chose, c'est de ne pas t'inventer de PNJ dans ce premier poste, fais en sorte d'être seule, voir même d'attendre, ça serait parfait ^^
Maintenant j'ai le plaisir de t'annoncer que tu es validée, tu n'as plus qu'à aller signer le pacte ^^
Je te souhaite bon amusement au sein de ce forum.
Bienvenue sur les sept Destinées Lilya. |
|