~Prénom : Djauric
~Nom : Toassie
~Surnom : L'autre
~Âge : inconnu (il n'à jamais compté)
~Sexe : homme
~Race : Hybride, homme-mante
~Lieu de naissance : Continent des Hybrides
~Lieu où vous vous trouvez actuellement : La forêt de Lalwende
~Classe : sans classe
~Alignement : Chaotique neutre
~Description Physique : Djauric est un homme mante, en cela, il à des traits anguleux, trop anguleux pour être vraiment plaisants, ou juste "normaux". Mais son visage, il le cache derrière un masque, blanc. Dépassant de celui-ci, une tignasse orange toujours emmêlée surplombe sa tête, et caché derrière son masque, ses yeux à facettes regardent avec beaucoup acuité, mais distingue mal les couleurs. Mais il ne peut cacher d'autre particularité que lui donne sa "particularité". Il n'a pas les articulations au même endroit, plus basse sur les jambes et plus haute sur les bras. Il dégage une forte impression d’étrangeté, comme si l‘on était en face d’un insecte géant. Il porte cependant des vêtements larges en toile, masquant au mieux ses particularités, mais il ne veut cacher son masque, dont il est très fier.
~Description Psychologique :d’aucun dirait qu’il est fou, Djauric préfère dire qu’il est singulier. En effet, il n’a que peu de notion de bien, de mal, ou de bienséance, il se prend à rire seul, sans raison, à parler dans le vide. Mais il n’est pas vraiment dérangeant. Il est la plupart du temps d’humeur légèrement euphorique, comme s’il s’amusait de tout, et surtout de rien. Avec les autres, il est simple, souvent direct et calme. Mais il ne sait pasvraiment se tenir en société.
~Biographie et Histoire :
« Ton masque ! »
Comme s’il aurait put l’oublier. Mais il avait toujours droit à cela, dès qu’il sortait. Peut importait la raison. Ils ne perdaient jamais l’occasion de lui crier dessus. Mais c’était pour lui, pour son bien. Ils, c’était ces maitres, il ne devait pas connaitre leur nom, il n’en était pas digne, pas encore.
Mais ce n’était pas sa faute s’il n’était pas comme eux, un fier elfe/lion. Lui, c’était un homme, déjà, c’est moche un homme, comparé à un elfe. Mais en plus, il était insecte, comparer à un lion, c’est naturel qu’il se soumette.
Et puis, il était habituer à porter ce masque, aussi loin que remontait ses souvenirs, il l’avait eu, et ils lui avaient toujours dits de le porter, alors il obéissait. Il aimait beaucoup ce masque, blanc, avec des trainées vertes sous les yeux. L’accessoire lui permettait de cacher son « horrible face d’insecte » comme ils disaient tous. Et ils avaient raison. Il s’était plusieurs fois regarder dans de l’eau, sans masque. Il avait des yeux à facette et sans paupière, sa face trop allongée, ses dents étrange, ressemblant plus ou moins à des mandibules. Ils avaient raisons. Mais ils l’aidaient beaucoup. Ils lui avaient fournis un masque pour paraitre presque normal. Mais aussi des vêtements larges qui lui permettaient de cacher ses articulations déplacées ; mais surtout, ses bras supplémentaire, garnis de barbelure. Il avait obligation de ne jamais utiliser ces bras supplémentaires, « erreur de la nature » comme ils disaient. Ils l’aidaient à devenir meilleur, à devenir comme eux.
En échange, il faisait tous ce qu’ils lui demandaient. Enfin, presque tout. Lorsque la nuit venait, et qu’il allait dormir dehors, comme l’insecte qu’il était, il se mettait à parler au vent, à la lune, aux étoiles, aux arbres. Et ils lui répondaient. Ces compagnons nocturnes lui avaient donné deux choses fondamentales. La première était un nom, même si ces maitres disaient qu’il n’était pas près pour en avoir un, il avait un nom. Il s’appelait Djauric Toassie, Djauric pour faire plus court. La secondes était le Rire. Ce rire qu’il utilisait tout le temps pour n’importe quoi et qui avait la faculté de calmer ces elfes/lions lorsqu’ils le battaient trop durement. Le vent, son plus fidèle amis, lui avait aussi soufflé quelque chose, une fois qu’il n’avait pas compris, mais qu’il avait retenu, car c’était beau.
Sors salutis
et virtutis
michi nunc contraria,
est affectus
et defectus
semper in angaria.
Hac in hora
sine mora
corde pulsum tangite ;
quod per sortem
sternit fortem,
mecum omnes plangite!
Plus tard, Djauric compris qu’il pouvait communiquer avec les insectes. C’était bien pratique car il s’en allait plus facilement de la maison de ces maitres. Mais c’était répugnant de leur parler car il était encore plus inférieur que lui, sauf qu’ils ne s’élèveraient jamais, eux. En plus, ces petites bestioles stupides ne s’intéressaient à rien bien longtemps, et il fallait leurs donner des ordres bien précis pour qu’ils acceptent de quitter la maison. Et, de toutes manières, ils n’avaient aucune conversation et ne comprenaient pas son rire.
Ainsi ces jours s’égrainaient, lentement. Djauric lavait, allait chercher du bois, de l’eau, préparait à manger, parfois. Il se cachait aussi, dès qu’ils recevaient quelqu’un, il n’était pas assez digne pour ce montrer, pas encore. Ils le battaient aussi, lui criaient dessus, le malmenaient de bien des manières. Il était le réceptacle de tous leurs malheurs. Mais ils l’aidaient à s’élever doucement.
C’était normal.
Premier choc.
Un insecte étrange apparut dans la clairière ou il passait la nuit, ce soir là. Djauric se figea. Comment cet insecte pouvait-il lui ressemblait autant ? Il avait l’impression de se voir en plus insecte, en plus petit aussi. Il n’arrivait pas à comprendre. Les secondes passèrent, lentement. L’insecte Bougea, Djauric le sonda, doucement.
Mante
Ce mot raisonne dans sa tête chargé de liberté, de compréhension, d’acceptation.
Mante. Il n’était pas un insecte insignifiant, il était mante. Infiniment plus gracieux, plus agile, plus fort. Il était mante, bien supérieur à ce qu’ils lui avaient dit.
Alors, pour la première fois depuis très longtemps, il ôta complètement son masque. Djauric se contempla dans les yeux émeraude de la mante, se reconnut, compris.
Il comprit qu’il n’était pas si inutile, si fragile. Il comprit qu’il n’était pas si loin des elfes/lions. Ils lui étaient toujours supérieurs, mais plus autant, plus autant qu’avant.
Son rire fusa dans la clairière, lacérant le silence paisible des bois.
Il continua à observer la mante, comparer ses bras au siens. Il avait aussi des barbelures, mais sur sa deuxième paire de bras, mais pas d’aussi belles lames, il en veut ! Il en aura, bientôt. Par contre, sa chitine semblait plus importante, tant mieux pour lui.
La mante finit par partir, le laissant seul apaisé. Il resta seul, à se demander comment pourrait-il faire pour posséder les mêmes lames que la mante.
Deuxième choc.
On l’avait vu ! Il s’était fait voir !
L’un des inviter de ses maitres l’avait vu, alors qu’il aurait du rester cacher dans la forêt. Mais il en avait profité pour fouiller partout s’il ne trouvait pas ces lames tant voulus. Mais l’un des invités avait voulu faire le tour de la maison, pour voir ou il ne savait quoi d’autre. Ces maitres étaient important, il avait une maison eux. Il était normal que les inconnus visitent cette merveille.
Mais lui, stupide Djauric, ne l’avait pas prévu. Et ses maitres allaient l’apprendre, lui faire mal, très mal. Il allait le chasser, ne lui permettraient plus de s’élever. Cet elfe/loup ne devait jamais dire qu’il l’avait vu. Mais comment s’en assurer.
Djauric ne réfléchit pas plus avant, il devait agir. Il se jeta sur l’inconnu, et, dans un élan incontrôlé, il fit jaillir ses deux bras supplémentaires hors de sa tunique, la déchirant. Ses bras, encerclèrent l’autre, immobilisant ses bras et le lacérant grâce aux barbelures. Tandis que les autres lui encerclaient la gorge, l’étouffant.
Se fut finit en quelque minutes, étonnamment rapidement pour Djauric, qui pensait avoir à lutter plus longtemps. Mais il avait un autre problème à résoudre, le corps. Il le tira dans la forêt, loin des yeux de tous et le cacha sous de la mousse, près de là ou des loups venait chasser, ça ferai l’affaire.
En chemin, il prit sa seule tunique de rechange et partis se cacher dans les bois, là ou il aurait du être. Plus tard, on l’interrogea, il se mit à rire, comme à son habitude, il ne savait rein, bien sur. On le rua de coup, pour la forme. Puis sa vie recommença, comme avant.
Mais il avait tué, c’était drôle, il aimerait bien recommencer, à l’occasion, pas trop, mais bon, c’était divertissant.
L’occasion vint, en même temps que la réponse de la terre.
Un soir, comme tant d’autre, il était assis, à attendre qu’ils aient finit leurs repas. Soudain, la terre se mit à trembler, faisant vaciller la maison, mettant tout le monde à terre. Djauric compris alors le message de la terre. Il était comme eux, comme ces maitres qui se croyaient supérieurs.
Il se mit à rire. Rire de jubilation devant cette terre déchainée. Rire car il était enfin complet, il était autant homme que mante à présent, il était lui, plus besoin de s’élever, plus besoin de ces « maitres ». Rire car il s’était finalement affranchit de tout. Il était libre, il était lui.
La terre se calma, lui aussi, le plus grand des maitre se leva, dégaina son sabres. Djauric se baissa, légèrement. Il était mante, une mante à l’affut, terrible prédateur, la terre l’aidait. Il fit sortir ses deux autres bras, prêt au combat. Pour la survie.
Un massacre. Ces maitres n’étaient pas préparés à la rébellion de leur jouer, il les tua sans difficultés. Il sortit de la maison en ruine, parait de bouveau vètement. La terre se remis à trembler, et lui à rire. La terre, qui ne lui répondait pas, d’habitude, fêtait sa libération, sa victoire, et le vent lui fit parvenir un message, lui aussi.
« Tu es libre »
Libre, ne plus dépendre de personne, maintenant il comprenant. Alors, écoutant le vent, il partit, loin de la maison, à la découverte de tout ce qu’il aurait voulu voir avant.
Il parcourut les chemins, riant avec la terre de sa liberté trouvée, voyageant surtout dans les bois, un peu dans les plaines, à la rencontre d’autre.
Une nuit, il tomba sur un elfe qui n’était qu’elfe, étrange, il n’était pas animal, pas du tout. Mais, plus important, il voyait ses lames, ses lames tant voulut, tant attendus. Alors, tel une bête, il se jeta sur la demi personne qu’il avait en face de lui, lui pris ses lames en même temps que la vie et s’enfuit, regardant amoureusement ses lames, qui l faisait le roi des insectes, une vrai mante.
Plus loin, il se calma, regarda autours de lui, les étoile avait changées, il était complètement perdu, alors, il se mit en quête de nouveautés, car il n’avait plus rien que ce qu’il avait sur lui. Et surtout, plus rien derrière lui, l’attendant.
~Particularités propres à votre espèce : Il est mante, en cela, son corps est anguleux, ressemblant presque autant à un insecte qu’à un homme. Cependant, il possède une grande résistance physique. Mais sa plus grande particularité vient du fait qu’il à quatre bras, dont deux sont presque constamment enroulé autours de sa taille.
~Ce qu'il ou elle aime : le sable, découvrir, rire, observer, les lézard.
~Ce qu'il ou elle déteste :l’absence de réponses, ne pas comprendre
~Ses Peurs : les chose plus forte que lui, être dominé
~Arme(s) : deux lames de poignet, accroché sur ces membre supérieurs.
~Points forts: Djauric est très résistant, comme tout les insectes. De plus, comme il a passé la majeure partie de sa vie dans le désert, il sait se débrouiller seul dans presque toutes les situations qu’il arrive à analyser.
~Points faibles : Dès qu’il est face à quelque chose qui le dépasse, Djauric perd ses moyen, il a besoin de comprendre avant de réagir, ce qui laisse un temps d’immobilité presque totale de quelque seconde face à une situation imprévue.
~Pouvoirs : aucun
~Capacités spéciales : Djauric est endurant et très résistant, de plus, les lames et autre armes on du mal à percer sa peau légèrement recouverte de chitine.
~Talent secret : Etant lui-même a moitié insecte, Djauric arrive à utiliser ces dernier pour analyser le terrain ou ses adversaire éventuel. Cependant, il n’aime pas dépendre de chose si petite et répugne à le faire.
~Signe(s) particulier(s) : Djauric porte un masque en permanence et possède une paire de bras supplémentaire.
~Ma couleur utilisée : darkolivegreen => 556B2F
~Lien de votre inventaire : mon inventaire
~Code : Approuvé par Elfwyn !
~Narrateur/P.N.J : Non
~Statut : En attente