Bon, parce que ça fait longtemps que j'avais envie d'attaquer ce sujet là, hein!

Pour le Fun, la Gloire, l'Argent, et les Patates Douces! Mayufu! Je te défie! Mouhahahahahahaha! Pour le type de combat, on fera en aléa, ce sera plus drôle

Be cool and relax, I won't hurt you so much... (et la je dis: OOPAS! xD)

Léger problème technique, Mayufu veut se réserver pour un autre duel, ce sera donc anaïs que je devrai défier ^^"

Mais ce sont les mêmes conditions! xD

Coucou ^^ !

Eh bien ...

J'acceptes donc, disciple de Krom ? Je suis partante pour me casser les bras contre toi ^^ !
Ainsi donc, je lance le dé Arène et je t'impose le lancer du dé pour le mode de combat, Lary' ^^ !

Anaïs

Le membre 'Anaïs Kellynster' a effectué l'action suivante : Dédé

'Arène' :

Gad... On va se battre en aveugle donc? Choueeeette... xD

Ce dé n'est pas existant.

Alors ça y était! Un duel! Avec un adversaire valable en plus! En sautant dans le vide, on pu entendre mon cri de guerre jusqu’à Freezis au minimum:

-POUR LES PETITS PAINS DU MATIN, LES GAUFRES, ET LE FRONT DE LIBERATION DES MOULES D’OUTRE-MER! TATA YOYOOOOOO!

Enfin… Oui… Je me souvins juste après avoir crié que ce n’était pas exactement le cri de guerre typique d’un guerrier valeureux. Mais après tout, on n’était pas là pour faire sérieux non? Si? Oh et puis après, m’en fout. Allez, c’est parti! Je regardais autour de moi… Et ne vit rien. Bon, par contre, ce fichu présentateur, je l’entendais lui…

-Non mais oh! Toi là-haut, avec ta voix de fantôme désincarné! Si tu continues, je vais sortir! Et si le hareng saur, et bah ça va sentir mauvais pour toi!

Sur ces mots, je me concentrais, après tout, il faisait noir… et je ne pouvais pas voir l’autre extra-terrestre. Enfin extra-terrestre… J’espérais en tout cas. Selon le narrateur, c’était ça. Alors bon. Je déglutissais, imaginant déjà les pires scénarios: un monstre énorme, tout en muscle et en dents, une deuxième mâchoire se séparant de la première une fois la bouche ouverte… ou alors une espèce de soldat blindé, doté d’un champ d’invisibilité et d’un armement sophistiqué… Enfin l’invisibilité, il l’avait déjà… Je crus entendre un bruit sur ma gauche… Voulant éviter un coup qui ne vint jamais, je sautais en avant, heurtant du coup quelque chose de l’épaule… était-ce mon adversaire? Je dégainais, mes sabres chuintant dans leurs fourreaux, et jurait entre mes dents.

-Par Krom, c’est bien ma veine…

Bon… Qu’est-ce que je pouvais faire d’autre qu’attendre un faux mouvement de l’adversaire? Qu’Est-ce que je savais d’ici? Pas de lumière. Mais du son. Et sans doute également des odeurs… Je blanchis tout d’un coup, essayant de faire taire mes intestins. Pour le coup, se faire trahir par ça, ça aurait vraiment été la honte. Je restais immobile, ne faisant aucun bruit, seul celui de ma respiration retentissant dans le silence pesant. Ou est-ce qu’elle était l’autre? Hein? Ou? Elle m’énervait déjà. Franchement, ça allait chier. Enfin… littéralement, du moins je l’espérais…

Noir c'est noir, il n'y a plus d'espoir … Je ne savais pas si quelqu'un avait laissé tomber son encrier, mais il faisait bien trop sombre pour que la verdure de mes yeux puisse voir quoi que ce soit ! Cependant, je me sentais au bord d’une falaise, d’un trou au aussi noir que la noirceur d'une nuit nocturne. Je n’y voyais rien, autant dire que j'étais aussi aveugle qu'un chien ayant passé la centaine ... Alors, je me mis à paniquer en entendant une voix me demandant de me suicider, elle voulait que je saute ! Mais elle me prenait pour mes neurones ou quoi ?! De plus, mon ouïe détectera également une autre personne, qui elle n'aura aucun mal à faire ce qu'on le lui demandait, à cela, je me demandais si la voix n'était pas son père, ou bien son amant ... Car pour réagir aussi prestement que quand on a des problèmes de transit, fallait le faire ! Puis, ce dernier y plongera tout en lâchant un gros cri de guerrier échappé de l'asile, autrement dit, trop ridicule à mon goût. Je n’en savais rien de la profondeur de ce truc. Je ne pu donc m'empêcher de trembler, je voulais reculer, m’en aller, partir, me sauver, courir dans le sens inverse, fuir, détaler. J’avais trop les fois de sauter. Ma phobie prenait le dessus et je ne me voyais jamais y arriver. Mais en même temps, je ne pouvais pas laisser mon adversaire gagner la bataille, car c'est ce qui arriverait si je m'endormais maintenant, surtout à cause de tout cet oxyde de peur que j'inhalais ! Je serrais donc mes bras contre ma poitrine et je me mis à l’extrême bord du puits sans-fond. Je fermais les paupières, je ne pouvais pas regarder avec mes yeux et, je me murmurais des encouragements, puisqu'il n'y avait personne d'autre pour le faire. Il me fallut quelques secondes pour arriver à y sauter. Et je le fis enfin ! Cependant … Mon inconscience me fera dire une stupidité sans nom, un cri murmuré …

J’avais le trouillomètre à moins dix, c'était trop pour mon pauvre petit système cardio-vasculaire. Je ressentais cette sensation à me créer une nausée, pareil que quand je prenais l'ascenseur et que ce dernier perdait les pédales en tombant trop vite ! Je tenais fortement mon chapeau, mais hélas, je ne pu rien faire pour mes yeux qui eux étaient littéralement coller au fond de mon crâne ... Enfin, j’embrasserai le sol avec mon séant et je me fis mal, le bas de mon dos se heurtera si violemment à ce dernier que j’en lâcherai des couinements aigus, pathétique. La douleur s’élançant dans tous mon système nerveux. Me tenant le bas du dos en me relevant, perdant mon équilibre, je sombrais en avant, m’étalant de toute ma longueur au moment où la voix m’appelait pour me demander d’avancer. Là, à ce moment, je pestais à son égard ! J’aurai été terriblement tentée de lui coller une pastille pour son maux de gorge avec sa voix éreintée ! Et au lieu de me donner un ordre … Il pouvait m’aider, non ?! Quel monde … de désespéré. J’eu autant de mal à me remettre sur mes deux pieds.

*Plus jamais je sauterai dans un vide pareil …*

J’attendis un moment, tentant simplement de calmer mes tremblements qui me menaçaient toujours à m’écarteler. L’adrénaline était trop haute. Et dès que j’entendis le nom de mon prétendu adversaire, je cru me sentir verser en arrière. Il me foutait un poison ! Il se foutait de la fraise du monde ou je déconnais là ? Enfin bon … Le truc et que, je reçu un coup violent à l’épaule et je me retrouvais à nouveau avec mon séant collé au sol. Laissant échapper une longue plainte, similaire à un gémissement de jouissance, pour dire … Mes dix doigts collés au sol, je tentais de voir l’imposant poison qui m’avait cogné. J’imaginais la taille de la sale bête. Un poison-humain ? J’avais de la peine à en croire mon imagination débordante pour le coup et encore plus ma connerie qui me parlait de le déglinguer. Alors bon, je me relevais, lentement, et je sentis un agacement dans mes narines. Quelque chose me chatouillait et je finirai par éternuer du nez, cognant ma tête sur quelque chose de dur. Je sentis comme un … nez ? Mon grand front le frappera brusquement et je dû lui assommer la tête.

- Ouille ouille ouille … Gémirai-je en m’accroupissant, tenant mon front entre mes deux mains. Couinant de douleur.

Non seulement elle était bruyante, mais en plus, elle avait le front dur... Je jurai haut et fort, ne me souciant plus de ma situation et du combat mais bien plus de la douleur lancinante qui me vrillait le peu de neurones fonctionnelles qui me restaient...

-Nan mais t'es complétement cinglée! Aouuuutch... T'es qui toi, une hybride de rhinocéros et de scarabée géant? parce que pour avoir la tête aussi dure, faut y aller quand même! Raaaaaaaah...

Je me redressai, avançant à l'aveuglette, tous mes sens en éveil, les mains tendues devant moi... lorsque mes doigts rencontrèrent des cheveux... mes mains les parcourent, arrivèrent à leur base... et, décidant, que, de toute façon, ce combat n'était que du foirage total depuis le départ, et qu'il fallait bien continuer, hein... je les tirai. Assez violemment il faut dire. Je ne les sentis pas se décrocher, bon, c'est pas que ça m'aurait plu, mais j'avait pour projet de commencer une collection de scalps, alors... on commence quand on peut, non?

-Ha- haaaaaaaaaaaaa! Je t'ai eu!

je me reculais aussitôt, et lançait mon pied en avant, bottant ce que j'espérais être des fesses, et je me retournai pour me placer hors de portée... Lorsque mon nez rencontra de nouveau une surface dure et solide... Le mur cette fois-ci... Un nouveau gémissement s'éleva, reflet de mon indignation envers ce mur de pacotille osant me barrer la route dans un tel moment de... gloire? Solitude? Stupéfaction ébahie devant tant de ridicule?

- J'en ai maaaaaarre! Pourquoi? Pourquoi mon nez?

Tenant mon nez surement ensanglanté entre mes mains, je titubais en arrière, butant à nouveau dans quelque chose, me figeant immédiatement... était-ce un dos? En tout cas, je n'avais pas énormément envie de le savoir...

Je me frottais le front de ma main droite, me rendant compte que j’avais une tête sacrément solide et bourrée d’assez de bêtises pour pouvoir frapper avec sans trop me soucier de briser ce qu’il s’y trouvait dedans … Puisqu’il n’y avait pas grand-chose aussi. Alors, me relevant, continuant de masser mon front lancé par des douleurs sourdes, quelques choses tripoteront mes cheveux. Instinctivement, mes mains attrapèrent ces dites choses et je sentis donc des poignets poilus. C’était un homme ! Raaaaaah ! Voulant alors répliquer, ce dernier finira par tirer avec force sur mes tignasses et me colla un coup en plein dans mon ventre, me retrouvant alors au sol, rebondissant sur mon séant, lâchant toujours un couinement d’agonie.

Il n’y était pas allé de main morte, cette brute ! Il était clair comme, un lampadaire, que j’allais lui montrer ce qu’il en coûtait de s’en prendre à moi et je ne modérerai pas ma force … Enfin, ce que j’avais comme force aussi, hein … Parce que, m’voyez … Pour moi, j’en ai beaucoup ! Alors bon … Me relevant alors rapidement, un vertige me prendra d’assaut mais je parvins à le maitriser en tenant la tête, parvenant à faire se stabiliser l’unique neurone qui tanguait dans la boîte qui me servait de crâne.

Soupirant longuement, je pu rapidement localiser la présence de l’autre personne puisqu’il se mit à se plaindre. Mais il semblait aussi parler à quelque chose. Il était proche, il était là, je tendis un bras en avant, voulant avancer, me préparant à une riposte terrible dont il s’en souviendra éternellement ! Même après la vie, après la mort en fait … Je voulais lui faire ressentir une humiliation horrible et j’étais particulièrement douée pour ce genre de chose ! C’est alors que, en inspirant profondément, bombant le torse, je m’avançais dans sa direction. Je l’entendais, j’allais dans la bonne direction … Je m’approchais et je ne tarderai pas à l’attaquer ! Mon pied était prêt à décoller pour infliger de lourds dégâts dans ce que je pensais visé de plus douloureux chez un homme. Le bout de mes doigts touchèrent ce qu’il semblait être un dos et, satisfaite de ma trouvaille et de mon orientation, je déclarai :

- Ahaaaa ! À mon tour de te trouver !

Bien évidemment, étourdie comme j’étais, fallait pas s’attendre à ce que j’aboutisse à mes fins désirées, ou pas. M’apprêtant à lui coller un coup de pied magistral, comme il l’avait fait avant (J’en avais déduis, vu le coup …), je perdis l’équilibre et je m’étalais de toute ma longueur, à plat ventre, sur le sol, lâchant un long et perpétuel, traditionnel aussi car ça le fait pas mal ici :

- Nyuuuuu … !

Heureusement, je m’étais pas fais mal durant ma chute maladroite mais l’homme venait de heurter son pied à ma hanche. Et là … Je réagis au quadruple de tour en me tournant sur le dos et frappant à pieds joint dans son entre jambe avant de le faire tomber en reposant mes pieds sur le sol et crochant sa jambe droite. Il tombait en arrière … J’en profitais alors pour filer en rampant, mes mains tâtonnant le sol devant moi ... Evitant ainsi de me prendre quelque chose en pleine figure …