Voila moi je cherche un adversaire pour un joli petit combat, j'accepte tout le monde ^^
Voila voila

Moi !

Le membre 'Sepulturo' a effectué l'action suivante : Dédé

'Terrain' :

Attendons l'introduction du Narrateur, maintenant =D !

Sepulturo se laissa envahir les narines par les arômes abjects ambiants. L'odeur était nauséabonde et apocalyptique. Ces égouts sentaient la mort, les déjections et le râle fétide et calme des rats. Sepulturo essaya vainement de faire abstraction de cette ambiance morbide et vomitive pour se résoudre à user ses dons afin de combattre son adversaire. Il ne distinguait pas encore grand chose, il faut dire que les égouts laissent apparaître très peu de lumière dans la mesure où ils sont sous terre, à l'abri des peuples et des narines fragiles. Sepulturo comprenait que ce combat ne serait pas de longue haleine, car il savait que les exactions de sa bouche sentaient le paradis à côté de l'endroit où il se trouvait. Non, ce ne serait pas un combat de longue haleine, mais probablement, un combat de nez, un combat nasale. Sepulturo envisageait donc de faire les choses de façon simple, mais efficace. Il fallait juste pousser l'ouïe, la vue, le toucher et le goût vers la mort et ne laisser que l'odorat pour absoudre l'adversaire dans une mort affreuse et odorante. C'était une excellente idée et Sepulturo se flatta d'avoir un tel génie en son fort intérieur. Il décida donc de faire quelques pas, évitant soigneusement les rongeurs se baladant autour de lui. Il prit aussi soin de ne pas salir ses habits alors qu'il marchait dans une eau noire remplit d'excrément, d'urine et de déjections gutturales humaines. Il ne pouvait en revanche pas faire grand chose quand à ses chaussures. Pauvre de lui, il devait se résoudre à sacrifier une paire de chaussure pour une vie.

- C'est un bon accord, je trouve. Je vais faire de ta vie, une paire de chaussure qui embaume la mort et l'urine. C'est un fait qui me fait frétiller d'avance. Je ne suis probablement pas loin d'avoir un orgasme sans limites et sans arrêts. Je serais très franc durant notre combat, si je peux te rassurer, je serais aussi très calme et très compréhensif lorsque j'entendrais tes cris de supplication. Je serais Diplomate lorsque viendra le temps des implorations. En revanche, je serais à cheval quant à la façon de se tenir. Certes, nous ne sommes pas à table, mais nous sommes dans une situation de combat à mort. N'oublie surtout pas que, ta vie dépend de la mienne et vice versa. En fait, je vais te dire ce que tu es, enfin... Ce que nous sommes. Nous sommes deux vulgaires mouches drosophiles parcourant avec dédain et malice, ce grand égout.

Sepulturo savait qu'il fallait marquer le coup de façon plus clair, de façon plus direct. Il prit le temps de regarder autour de lui. Il ne bénéficiait pas d'une nyctalopie parfaite, mais il pouvait distinguer dans le tube qu'était l'egout, qu'il y avait des interstices entre chacun des pavés qui constituaient l'égout. Cela serait peut être une aubaine pour ses griffes de léopard, il pourrait au moins se déplacer à son aise et se dissimuler en hauteur pour ensuite sauter sur sa proie sans aucune retenue, ni pitié. Mais Sepulturo savait qu'il fallait être plus méthodique que ça et annoncer au tout début, la couleur qu'allait prendre le jeu. Car c'était un jeu auquel Sepulturo allait s'adonner, un jeu impitoyable et durable où la mort ne fera qu'un avec lui ou son adversaire.

- Suis-je bête, je ne me suis pas présenté, Je suis Sepulturo et je vais t'étriper comme une vulgaire truie. Je vais commencer avec ta langue, qui sera mon papier de toilette. Je pense qu'avec l'odeur de l'égout, mes déjections personnelles sentent la rose. En revanche, ta langue servira à l'hygiène de mon duodénum. De cette façon, je te supprimerais de façon expéditive toutes sensations de goût, ton palais sera inondé de mes reliquats rectales. Puis, je me dirigerais vers tes oreilles, que je me ferais un plaisir de percer de mille part avec mes griffes de léopard, afin de te donner un vibrato amplement suffisant afin que tes tympans explosent et implosent de façon harmonieuse, comme lorsque tu embrasses un individus du sexe opposé. Après avoir supprimé les moindres parcelles de ton goût et de ton ouïe, j'absoudrais mon humeur en crevant tes yeux avec des aiguilles que je suis sur de trouver en cherchant dans cette eau immonde. Je les défoncerais un par un, avant de m'en servir comme amuse bouche. Après t'avoir ôté tes oreilles, ta vue et ton goût, je couperais tes bras et tes jambes, afin que tu ne puisses plus jamais ressentir et toucher quelque chose. Après avoir détruit ses piliers fondamentaux. Je laisserais ton nez mourir de honte dans l'odeur affreuse de ses égouts.

Sepulturo se recula dans un coin emplit de pénombre afin de resté à l'égard d'un quelconque champ de vision. Il décida même d'entamer une transformation rapide de son être afin de devenir le léopard qui composait l'hybride qu'il était. Il pouvait maintenant agir avec plus d'agilité et de tact. C'était un animal après tout, mais surtout un mâle en quête de sang et de chair fraîche. Peut être lui ferait-il mal ? Il ne savait pas si il tomberait sur une tarte au prune ou sur un pruneau aigri. Il se laissa alors couler sous les odeurs de morts, attendant, l'oeil hagard, l'apparition quasi sacro sainte de son adversaire.

La jeune femme s'approcha d'un pas léger mais énergique. Elle examina les éléments importants du terrain tout en reniflant avec dégout les odeurs répugnantes de l'univers qui l'entourait. Elle semblait relativement calme et seraine malgré le fait qu'elle allait bientôt mourir. En soit c'est ce qui énervait souvent son adversaire. Elle s'approcha du jeune homme au teint pâle. Elle l'examina de la tête au pied et releva ses yeux d'une beauté rare de façon presque hautaine. Elle se donnait plus un rôle qu'autre chose. Elle le laissa déblatérer ses inçanités de façon relativement choquante. Elle ne montra rien, pas même un battement de cile. Son adversaire semblait bien déterminée à mettre ses menaces à éxecution. Mais fallait il encore qu'il réussisse à la battre. Elle ne prononça d'abord que cette simple phrase:

- Enchantée Sépulturo, il semblerait que vu ton état d'esprit tu ne mérite même pas de connaître mon nom. Je suis... contrairement à toi une personne qui ne parle pas pour ne rien dire. Si tu te battais aussi bien que tu parles, tu dirigerais le monde, et tu ne serais donc pas en train de croupir de façon misérable, ayant pour seul et unique compagnon...un rat crevé.

Cette simple phrase tira un sourire à la jeune femme. Si effectivement cet être semblait si violent, si cruel pourquoi avait il atteri dans cet univers glauque et nauséabond? Elle ne chercha même pas à éviter ses remarques, car cela ne semblait pas la toucher. Elle soupira d'exaspération aux autres remarques du jeune homme. Elle n'hésita donc pas en rajoutant de façon violente et vive:

- Mon cher camarade, ma langue est bien trop noble pour votre répugnant séant. Mon corps lui même semble trop beau, rien que pour votre regard de sale félin. Vous semblez tellement paniqué que vous vous sentez obligé de déblatérer à tout va des choses que vous serez sans nul doute incapable de faire!

La jeune femme jouait à présent avec son magnifique sabre qu'elle n'hésiterait pas à planter dans le corps de cet être si méprisant qu'elle avait en face d'elle. Elle s'approcha alors de lui et d'une façon douce mais sincère et glissa délicatement la lame du sabre sous la gorge délicate du léopard, elle le tutoya de façon brusque pour lui prouver qu'elle ne reculerait devant rien:

- Je te préviens...A la prochaine remarque dégradante, je t'arrache de qui semble se trouvait entre tes jambes, bien que j'en doute vu la façon dont tu parles, et je te les fait avaler de gré ou de force. Au moins tu sauras enfin pourquoi tu parles de façon continuelle...Tu seras devenu une véritable femmelette et tu n'auras absolument rien d'autre à faire!

Elle l'attrapa par le col et fixa ses yeux verts dans ceux de l'ennemi avec un mépris qui en aurait fait trembler plus d'un. Il voulait joué au plus fort? Et bien il avait devant lui la plus forte! Elle recula attendant le combat, tout n étant sûre d'elle, toujours aussi belle et séduisante, mais l'ennemi ne se doutait pas que derrière cette beauté se cachait la plus redoutable des combattantes...

[ HRP : Je n'ai pas de col, je suis en forme de léopard... ]

Sepulturo se laissa tirer doucement sa peau. Il se transforma rapidement sous son apparence elfique afin de laisser la jeune femme le tenir par le " col ". Sepulturo laissa échapper un souffle presque difficile à retenir, il ne voulait dire qu'une chose, mais apparemment, ses abdominaux le titillaient de façon dérangeantes.

- AHAHAHAHAHHAHAHA... Ahahahahahahaha...... Arrêtes, je vais MOURIR.... De Rire. Tu ne voudrais pas serrer un peu plus ton bas-ventre vers le bas afin de limiter mes mouvements de jambes ? Voudrais-tu aussi faire la confrontation logique de l'utilité de mes bras s'écrasant sur ta nuque si je me retournais ? Seigneur, tu me fais des reproches, tu menaces de couper mon sexe et tu te crois belle ? J'ai connu un elfe louve aux seins et aux fesses plus appétissante ! Tu me parle de dominer le monde ? AHAHAHAHHA, Quel monde ? Les égouts que nous parcourons SONT le monde actuel. Je domine donc. Mais tu sais, j'adore joindre le geste à la parole, mais je vais d'abord t'apprendre à immobiliser un adversaire. Chose qu'apparemment, ta chienne de mère et ton esclave de père n'ont pas réussi à t'inculquer, petite fille de joie.

Sepulturo fît volte face pour lui asséner des deux côtés de la tête, ses deux mains afin de cogner profondément dans ses oreilles et de provoquer un petit bourdonnement temporaire. Ce n'était en rien mortel, c'était juste un moyen de pression hors du commun pour entamer un combat dans les règles de l'art. Sepulturo se changea vite en léopard, puis monta à l'envers, planta ses griffes dans les pierres et bondit de façon rapide dans le dos de la jeune prostituée. Il griffa ses habits afin qu'elle se retrouve le buste nu.


- Planche à pain, vas...

Sepulturo glissa en dessous ses jambes et se transforma en forme normal pour mettre ses deux dagues à la hauteur de son cou. Il lui laissa le temps de réflexion.


- Tu peux te défendre, je te laisse une mobilité pour tes jambes et ton bassin. Mais je vais prévoir tes mouvements. Je commence par te couper tes piqures de moustiques ou je m'attaque à tes oreilles sifflantes ?