Thème du personage: Battle for Wesnoth music- Loyalists
~Prénom : Siegfried
~Nom : De Valmyr
~Surnom : Le Baron de fer, le colosse.
~Âge : 25 ans
~Jour et Mois de naissance : Le 6 Chaara du mois de Gaia"
~Sexe : Mâle.
~Race : Humain
~Lieu de naissance : Freezis
~Lieu où vous vous trouvez actuellement : Nandis
~Classe : Guerrier
~Alignement : Loyal Mauvais
~Religion : Hithar et Shiva
~Description Physique : Sans surprises, les terres dures et froides de Freezis produisent des hommes… Durs et froids. Siegfried ne fait pas exception à la règle.
Du haut de son mètre quatre vingt sept et fort de ses presque cents cinq kilogrammes de muscles, le premier mot qui vient à l'esprit lorsqu'on le croise est probablement colosse. Mais, en dépit de sa large carrure et de ses membres musculeux, Siegfried dispose d’une rigidité de chair et de physionomie qui évoque invariablement les cuirs mégissés au soleil jusqu'à devenir coriace comme l’acier. Dur est le qualificatif que ses hommes emploient et dur il est. Ses cheveux d’un noir de geais sont coupés mi-long avec une précision toute militaire et encadrent son visage sévère, jetant une ombre grise sur un visage prématurément ridé. Il porte une barbe taillée stricte et cour qui, telle une ombre bleu-noire, barre ses pommettes osseuses et sa mâchoire carrée. D’un bleu sombre comme une mer nocturne, ses yeux vous font, sous d’épais sourcils, l’effet de plaies ouvertes. Sa bouche a de quoi désespérer le fou le plus comique ; réduite à un fil exsangue et crispé, cette bouche taillée pour le laconisme, les ordres secs, la menace et la réprobation a oublié le sourire et toujours ignoré le rire.
Ses traits durs, sa voix forte et ses yeux perçant lui confèrent une certaine autorité naturelle dont il n'hésite pas à se servir.
~Description Psychologique : Siegfried est un homme qui à vécu dans la dureté et l’âpreté du climat de Freezis. Il à vu les siens s’échinés à creuser et éventrer la montagne pour extraire les métaux précieux, sources de la richesse de la ville et de sa famille. Ainsi, il méprise ouvertement ceux dont la vie est simple. Pour lui, le confort affaibli, c’est dans l’adversité et dans l’épreuve que l’homme se réalise véritablement, se développe et devient fort.
Justice et ordre. Ordre et justice. Voilà ce qu'il convient d'appliquer avant tout, si l'on veut éviter que ce monde ne devienne un chaos. Siegfried est avant tout un homme de conviction. Déterminé et fidèle à ses principes, il n'y dérogera jamais, sauf sur ordre explicite de quelqu'un à qui il accorde suffisamment de crédit pour le considérer comme son supérieur.
L'extrémisme de ses principes le transforme bien souvent en défaut. Ainsi sa détermination sans faille en fait un être obtus et réticent à toute idée ou pensée nouvelle. Intolérant, il ne supporte pas qu'on le critique ou pis, qu'on le contredise.
Il est également intimement persuadé de la supériorité des humains sur les autres races. Il voit la majorité des autres peuples comme des faibles, destinés à devenir les esclaves de l’humanité. Pour lui, le vampirisme est une maladie qui avilit l’humanité et doit être éradiqué. Les hybrides sont une aberration tout juste bonne à être brûlée en place publique. Les races maléfiques sont jugés un peu moins sévèrement à ses yeux, car elles ont compris que les bons sentiments et l’altruisme étaient des faiblesses. Mais elles aussi sont destinées à servir ce qu’il considère être la race des seigneurs : les humains.
On le compare souvent au fer: Dur et solide mais qui rompt plutôt que de plier.
~Biographie et Histoire : "30 lignes pleines minimum à 60 lignes pleines maximum"
Dans la société humaine, l’influence et le pouvoir dépendent de deux choses : La noblesse et la richesse. Les plus riches cherchent à devenir noble afin de s’imposer dans la société et les décisions politiques alors que les nobles ont besoin de grandes quantités d’or pour satisfaire leur train de vie.
Ainsi, lorsqu’une famille noble d’ancienne extraction se retrouve sans un sous suite à une campagne militaire désastreuse, il lui faut recourir à des solutions désespérées... Comme un mariage arrangé avec un roturier suffisamment riche pour renflouer les caisses de la maison noble.
C’est ainsi que Messire Albrecht De Valmyr, Aîné de la prestigieuse lignée des Valmyr, épousa Dame Marina Soufleroche, unique héritière des riches gisements de fer et d’argent de sa famille dans les environs de Freezis.
De cette union naquis quatre enfants. Maximilien, l’aîné, destiné à devenir le futur seigneur de Valmyr ; Siegfried, le second, dont la place de cadet lui vaudra le rôle de gérant des mines de Freezis au nom de son frère ; Elizabeth, dont le mariage servira les intérêts de la maison et enfin Kael, le dernier, dont la naissance entraîna la mort en couche de sa mère. Il mourra en bas age.
Siegfried fut éduqué au milieu des glaces de Freezis pendant que le reste de sa famille vivaient des les terres calmes et tempérés des Valmyr, dans les grandes plaines. Il reçut une bonne éducation, son précepteur lui enseignant tout ce qu’un futur noble se doit de savoir. Le jeune garçon nourrissait une véritable fascination pour la montagne et adorait en arpenter les flancs dans de longues randonnés où il restait fasciné devant la froide splendeur des paysages gelés.
Les jours les plus heureux de son enfance se déroulaient quand il rendait visite à sa famille, et plus particulièrement à son frère sur les terres de Valmyr. Les deux garçons partageaient la même passion pour le métier des armes et quand ils furent en age de s’entraîner à l’épée, ils avaient déjà un niveau de loin supérieur aux autres élèves du maître d’arme. A cette époque, il arrivait souvent que l’armée du royaume passait à proximité de ses terres, non loin de la capitale, lors des départs en campagne. Les deux frères se précipitaient à chaque fois pour les acclamer et ils profitaient du retour pour s’amuser avec leurs gueux dans les villages qu’ils traversaient, des reflets d'armures étincelantes plein les yeux. Que de fois avaient-ils ri en voyant ces paysans les supplier d'épargner leurs récoltes !
Le début de l’adolescence de Siegfried commença sous les mêmes hospices. En plus des entraînements à l’épée où le jeune garçon devenait meilleur de jour en jour, des cours de tactiques militaires lui furent prodigués. Il se montrait particulièrement habille pour déjouer les stratégies des autres élèves et se plaisait à ridiculiser les enfants moins bons qui lui.
Si Siegfried ne manquait pas de succès auprès des jeunes filles nobles, il aimait à piocher parmi les classes sociales inférieures. Les jeunes gueuses de la région trouvaient entre ses cuisses de quoi remplir le ventre qu'elle prétendait vide. Les paysans ne semblaient toutefois pas souvent comprendre la chance qu'avaient leurs enfants. Aujourd'hui, la plupart de ces bâtards sont valets de ferme voire écuyers au château.
Mais la guerre est loin d’être un jeu. Ainsi, lorsque le Seigneur de Nandis convoqua le ban et l’arrière ban afin de partir en campagne pour étendre son influence, Siegfried connu les véritables horreurs de la guerre. Les troupes de sa maison furent pris dans une embuscade tendue par des mercenaires elfes. Si Siegfried en sorti vivant, son frère et son père y laissèrent la vie.
De retour sur ses terres, le jeune homme du prendre la place de son frère et devenir le futur Baron de Valmyr. Ses prouesses lors de la guerre lui avait valu une place à la cour et le début de l’age adulte de Siegfried fut marqué par les voyages entre la cour de Nandis afin de défendre les intérêts de sa baronnie et d’apporter ses conseils à la cour, et la gestion de ses propres terres dans les grandes plaines. Dans ses moments de libre, il lui arrive souvent de rejoindre Freezis pour se perdre dans les étendues glacées de la montagne.
~Particularités propres à votre espèce :Aucune compétence naturelle, mais pas non plus de défaut particulier.
~Ce qu'il ou elle aime :La guerre, la stratégie, diriger, commander, le froid, la glace, l’humanité, le bon vin.
~Ce qu'il ou elle déteste :Les races non humaines, les grandes chaleurs, l’indiscipline, les faibles, les imbéciles.
~Ses Peurs : Devenir faible ou inutile, être réduit en esclavage, perdre sa noblesse et ses biens.
~Arme(s) :Sa puissante musculature lui permet de manier un lourd marteau de guerre, son arme favorite. Cette lourde masse se manie à deux mains et sert à porter des coups d’une force redoutable, au détriment de la précision et de toute grâce.
Il utilise parfois une arbalète lorsqu’il doit combattre à distance. Il voit dans cette arme ingénieuse, et spécifique aux hommes, une preuve de la supériorité de l’esprit humain.
Lorsqu’il doit faire face à une ligne d’archer ou à des adversaires attaquant à distance, il use d’une lourde épée de guerre associée à un pavois de grande taille. S’il perd en force brute, il gagne en protection.
~Signe(s) particulier(s) :Son imposante carrure et sa taille le rendent facilement reconnaissable et peu discret. Il porte généralement en tablard le blason de sa maison.
~Points forts : Sa force brute reste son principal atout. Mais c’est également un habile tacticien, habitué aux intrigues du pouvoir et à la lourde tache du commandement. Ses relations dans les hautes sphères de l’état en font un personnage important. Son esprit logique lui permet de rester concentré et droit lorsqu’il convient de régler un problème. Il peut se targuer d‘être un fin connaisseur de la force militaire de chaque maison des terres de Nandis.
~Points faibles : Il à bien trop tendance à sous estimer ceux qu’il juge inférieur. Son manque flagrant d’imagination l’empêche de prévoir des stratégies originales : il ne sort que rarement des sentiers battus. Son racisme lui aliène de nombreux soutiens potentiels parmi les races non humaines et chez les humains les plus ouverts. Son orgueil le pousse à se croire bien meilleur qu’il est.
~Pouvoirs : Aucun.
~Capacités spéciales : -Chef né :
Siegfried parle fort et a dévoré la totalité des manuels de stratégie militaire qui ont croisé sa route. Ainsi, il sait commander et gérer les hommes, les utiliser au mieux de leurs forces. Les personnages se battant sous les ordres de Siegfried seront donc plus efficaces dans leurs actions, car elles seront coordonnées avec celles de leurs alliés.
-Robuste
Doté d’une impressionnante constitution, Siegfried résiste mieux que la moyenne aux poisons, aux maladies et au grand froid. Il faut également le blesser plus sérieusement que la moyenne pour le mettre hors combat.
- Châtiment des inférieurs:
Siegfried concentre sa haine et sa rage dans une frappe unique et d’une force terrible destinée à broyer tout ce qui se trouve sur son chemin. Le coup porté est si fort qu’il est capable de briser une lame d’acier (ou tout du moins de la fragiliser), de plier un bouclier, le rendant inutilisable et de briser les os si jamais le coup porte. La meilleure façon de se prémunire de cette attaque est d’esquiver le coup, parer ne servira qu’à rendre son matériel inutilisable.
- Botte de Valmyr
Une passe d’arme conçue par un lointain ancêtre de Siegfried et particulièrement dur à maîtriser, mais redoutable en combat. Elle consiste en une feinte qui amène l’adversaire à se découvrir, offrant ainsi la possibilité à Siegfried de le désarmer d’un coup imprévisible avec le manche de sa masse d’arme. Il lui suffit ensuite de renverser l’ennemi désarmé d’un coup d’épaule et de l’immobiliser en l’écrasant du talon de sa botte avec de lui exploser le crane d’un coup de masse d’arme.
Face aux laceurs de sorts, la botte est légèrement différente. Siegfried attend le moment où son adversaire lance un sort pour frapper. Il profite en effet que l’ennemi se concentre sur sa magie, baissant ainsi son attention sur le combat, pour désarmer, renverser et frapper.
Cette technique n’est que très rarement portée à terme. Généralement, l’adversaire arrive à se dégager avant le coup de grâce et est simplement désarmé ou désarmé et renversé. Seul les adversaires les plus malhabiles ou les moins chanceux reçoivent le coup de masse final.
~Talent secret : /
~Ma couleur utilisée : Lightsteelblue ~ #B0C4DE
~Lien de votre inventaire : https://www.lauthentique-destiny.net/inventaires-f50/inventaire-de-siegfried-t838.htm#45496~Code : Approuvé par Elfwyn !~Narrateur/P.N.J : Je veux bien l’aide d’un PNJ pour lancer ce personnage dans l’univers de ce forum.
~Test RP : - Spoiler:
Le Baron n’hésitât plus. Hurlant la devise de sa famille, il chargea l’elfe. Ce dernier resta parfaitement calme, consolidât ses appuis sur le sol boueux, et se prépara au choc. Siegfried le heurta d’un puissant coup d’épaule avec la ferme intention de le mettre à terre. L’elfe recula de quelques centimètres mais resta parfaitement inébranlable. Sa contre-attaque fut vive, il frappa d’un mouvement de bas en haut avec son cimeterre, mais l’arme sacrée, bénie par la déesse de la lune, rebondit contre le pavois du chevalier. Siegfried manqua de trébucher sous le choc mais tint bon. Il tenta une frappe d’estoc qui fut parer sans difficulté par le prêtre d’Azura. Ce dernier n’hésitât pas, il bondit sur l’humain et tenta de le renverser d’un formidable coup du plat de sa lame, une terrible frappe latérale. Siegfried leva son pavois. Le choc fut si formidable que le noble en fut jeté à terre. Son bras de bouclier le faisait atrocement souffrir, engourdis par la violence du choc. Le chevalier tomba en arrière dans la boue. Le choc au moment de sa chute chassa l’air de ses poumons mais il put tout de même voir avec horreur son adversaire lever son arme au-dessus de sa tête pour l’achever. Siegfried eu tout juste le temps de se rouler sur la gauche pour esquiver la lame sacrée qui vint se ficher dans le sol avec un bruit spongieux. Mais l’elfe était vif et, voyant que son coup était manqué, il poursuivit son mouvement et, avec le même élan, frappa le chevalier qui tentait de se lever. Ce dernier ne vit même pas le coup arriver. Son harnois fut transpercer par l’épée, lui infligeant une formidable blessure au flanc droit. Le chevalier hurla tandis que l’énergie sacrée envahissait son corps et infligeait de terribles dégâts à son organisme. Ce simple coup aurait mis un adversaire moins endurant à terre, mais Siegfried disposait d’une constitution exceptionnelle. Ravalant la douleur, le baron profitât du fait que le prêtre retire son épée pour frapper. Cette fois-ci, il y mit toute la force de sa haine et de sa foi. Son épée fractura l’épaulière de l’elfe pour s’enfoncer dans son épaule. Le prêtre ne poussa pas un cri. Il semblait n’avoir même pas ressenti le coup. A nouveau Siegfried frappa. Son adversaire para sans difficulté et sa contre attaque infligea de nouveaux lourds dégâts à l’humain. Il était parfaitement clair que l’elfe était bien meilleur guerrier que l’humain mais ce dernier refusait de se rendre. Il fut forcé de reculer face aux asseaux impétueux de son adversaire, la lame sacrée du prêtre d’Azura lui infligeant des blessures de plus en plus cuisante alors qu’il n’arrivait même pas à le toucher. Refusant la défaite pourtant inéluctable, l’homme des glaces implora Shiva et Hithar de lui fournir la force qu’il lui manquait. L’elfe tenta une nouvelle attaque de haut en bas, bien décider à trancher en deux son adversaire. Siegfried se recula d’un pas et, a l’aide de son pavois, appuya sur l’épée du prêtre pour accélérer sa descente. L’arme se ficha dans le sol, bloquée par la main gauche du chevalier. L’humain brandis sa bâtarde, la ramenant en arrière tel le dard d’un scorpion sur le point de frapper. Il allait transpercer le gorgerin du prêtre et enfoncer sa lame dans sa trachée. Le temps sembla se figer, la pluie et les nuages obscurcissaient le ciel de façon à ce que la zone du combat soit plongée dans une obscurité presque totale. La pluie coulait sur l’armure des deux belligérants, lavant la boue qui maculait le harnois du chevalier.
A l’instant précis où Siegfried allait frapper, les nuages s’écartèrent, révélant une pointe de ciel. La pleine lune illuminât un instant fugitif le champ de bataille. Le noble, face à l’astre lunaire, fut aveuglé un cours instant par l’éclat d’Azura. Le prêtre, dos à la lune, ne fut pas le moins du monde affecté. L’instant d’aveuglement fut fatal au baron, il retarda sa frappe d’une demi-seconde. Ce fut bien plus qu’il ne le fallait à un guerrier accomplis pour frapper. D’un geste brusque et puissant, l’elfe il imprimât une force du bas vers les haut à son cimeterre, balayant ainsi le blocage de Siegfried qui manqua de trébucher en arrière. L’épée poursuivit sa course et frappa le harnois du noble avec une force incroyable, pulvérisant les protections déjà fragilisées par les précédents asseaux. La pointe de la lame s’enfonça dans le torse du vaincu et remonta d’un geste fluide jusqu’au milieu du cou, tranchant la chair comme du beurre. La vision du chevalier se brouilla. La silhouette de son ennemi honni se découpait dans la luminosité de la lune. Le chevalier tomba en arrière. Les étoiles paraissaient s’éloigner. Déjà, l’elfe se détournait pour en finir avec les derniers humains encore debout. La dernière vision du chevalier fut la lune parsemée d’étoiles qui semblait se moquer de lui. Enfin, son corps toucha terre. Sa tête heurta une pierre avec un bruit d’os brisé.
Pour Siegfried le ciel explosa.
~Statut : " Terminée